Nous ne sommes pas leurs pantins! (Intrigue des verts.)

**La vie chez les Serpentard c’est simple. Faire la lois, faire peur, et se croire supérieur. Quand on est chez les Serpentards on est pas très bien vus pas les autres élèves. On nous prends pour des méchants, ceux qui martyrise tous les autres. D’ailleurs, c’est pour ça que l’on nous a demander de maltraiter les Poufsouffles. On nous envois faire le salle boulot a leurs place. Nous demande de ce faire passer pour le mal. Avoir peur de nous. Mais on a déjà peur de moi. Donc a quoi bon? Je ne veux pas rentrer dans un clan, appartenir a une tribus, qu’on me place dans un moule et qu’on me dise ce que je doit faire. Mais si je ne le fais pas, je serais prise pour une lâche, pour une moins que rien. Je suis bloquée. Alors j’ai pris la décision de faire ce que je sais faire le mieux, faire semblant. Faire en sorte de rentrer dans leurs jeux, mais sans grande convictions. Liam dit que c’est bien de faire ça, que de toute manière les jaunes ne sont que des pantins. Mais je ne le veux pas. Je ne veux pas jouer avec eux. Pour une fois, il ne m’on rien fais. Bon je doit l’admettre, il m’agace un peu, a rire tout le temps, être toujours heureux, et n’avoir aucun soucis. Donner leurs une claque ils vous tendrons l’autre joue. C’est a peut prêt ça avec eux. Mais je ne veux pas les martyriser pas eux. Je peux avoir l’occasion de maltraiter Azalea un petit peu, mais non. On me l’a demandé. Alors c’est beaucoup moins drôle. Si je veux le torturer un petit peu je n’ai nullement besoin d’eux. Je doit être folle pour penser de tel choses. Mais bon, je commence a m’y habituer de plus en plus. Je ne me fais plus peur. C’est déjà ça. Mais la n’est pas la question. En claire, on me demande de faire le mal, alors que je ne veux plus le faire. Enfin, si tout cela est dans ma nature, mais je ne veux pas que l’on me le demande. La j’ai l’autorisation, mais je veux m’y opposer. Je suis perdue. Donc je vais quand même aller a cette réunion, et je verrais bien après. Et puis, Elixir est chez eux. Et je ne veux pas lui faire du mal a elle. Je l’aime bien. C’est une des rare personne qui arrive a me faire sourire avec un brin de sincérité. Jamais je ne la toucherais. Je l’apprécie bien trop pour ça. Que faire? Tels et la question. Seule moi peut décider sur ce que je vais décider d’entreprendre ou pas. Car Liam ne pourrait me corrompre pour une foie. Jamais. Pas sur ce genre de décision. Je vais remettre la question en jeux, et songer a y réfléchir à deux fois avant de m’engager dans je ne sais quoi. Advienne que pourra. **

Elle venait de recevoir un mot des inquisiteurs. Voila pourquoi tant de question. On leurs demander de faire le mal, de bousculer les Poufsouffles, et elle ne savait pas pourquoi. Et pour une fois, elle remettait ces actes en questions. Elle n’aimait pas qu’on lui donne des ordres, et surtout, elle refusait de leurs servir de pantin. Il était vrai que dans sa maison tous le monde avait des différents avec tel ou tel jaunes, mais elle, n’avait vraiment rien contre eux. Elle c’était même bien trop attaché a Elixir. Cette fille, c’était vraiment la seul qui arrivait a la faire rire. Comment oser faire du mal a une telle personne? Aimer, c’était bien rare chez elle, et elle pensait bien que seul Liam, Law et Virgil étaient et resteraient ses seuls amis. Mais non. Elle c’était liée d’affection avec elle, avec une jaune. A force de ce côtoyer les deux jeunes filles partageait des bon souvenir lors des heure de cour en botanique. Cette fille, elle était vraiment ce qu’elle voulait être, et ne pourrait jamais la toucher.

L’heure d’un rendez-vous donné par les Serpentard approché. Et elle n’avait toujours pas pris sa décision. Jamais elle ne deviendrait le pantin des inquisiteurs. Jamais. C’était certain. Mais que faire? Dans sa tête, c’était tout réfléchie. Elle rentrerait dans la rébellion peut être. Mais serait elle capable de supporter Azalea? Elle n’en était pas si sur. Lorsqu’elle pénétra dans la salle commune, elle alla directement s’assoir sur un canapé isolé. Liam viendrait surement la rejoindre dans quelques minutes. Un grand sujet de débat se préparer sur ce qu’ils allaient faire ou non. Car pour son cas, elle avait des arguments bien précis. Et pour une fois, elle contait bien donner son point de vus…

Enzelta l'avait remarqué, ce matin là, en descendant du dortoir, après avoir réveillé les premieres années, qui avaient fait les folles la veille au soir. La préfète n'était pas connue pour sa pitié envers les plus jeunes de Poudlard, encore moins envers les jeunes de sa propre maison. Serpentard, c'est serpentard !! Même si elle savait qu'elle n'aurait peut-être pas dut y entrer. Elle était tout de même fière d'avoir pu marquer sa différence par rapport à ses parents et ses frères. Elle acceptait de faire partie de cette maison, et en faisait même partie intégrante, de par son caractère et son comportement. Mais au fait, qu'avait elle remarqué ?? Un parchemin de plus sur le panneau d'affichage. Mais elle n'avait pas pris le temps de le lire. Ce n'était que lors de la journée, alors qu'elle passait près d'un groupe de vert de troisieme année qu'elle fut conviée à "la plus grande réunion jamais organisée dans les cachots de Poudlard". La préfète ne put retenir un sourire. Et passa son chemin sans demander plus d'explication. Elle était d'un naturel curieux, elle irait donc voir de quoi allait parler cette réunion, et en tant que préfète, elle avait plus que le droit d'y pointer le bout du nez.

Ce ne fut que le soir, alors qu'elle rentrait dans la salle commune, après avoir coincé Cassandre trois petites minutes qu'elle alla voir ce qui la tracassait depuis ce matin-là alors, que, sûrement, il n'y avait rien de bien important. Ce n'est qu'à la fin de la lecture du parchemin qu'elle vécu comme un arrête sur image... Rejoindre l'inquisition? Continuer la chasse au jaune ? La préfète eu l'impression de chanceler... ainsi leurs exactions étaient maintenant permises ?? Elle n'en revenait pas...
La préfète alla s'assoir dans un coin, dans le noir, et ferma les yeux, attendant que les élèves arrivent. Se demandant exactement comment les choses allaient se passer. Tout en attendant, la préfète se releva, et alla prendre son sacqu'elle avait laissé sous le panneau d'affichage, et s'assit à une table. Elle sortit des parchemins, et recopia plusieurs fois un même mot, à l'attention des préfets. Ce qu'elle y mettait ? Celà ne vous regarde pas voyons. Une fois cela fait, Enzelta ramassa ses affaires et partit pour la volière, de sorte à envoyer les parchemins à leurs destinataires de la meilleure façon qu'il soit. C'est en revenant dans la salle commune qu'elle aperçut que les élèves commençaient à s'entasser dans la salle commune. Elle aperçu Drusilla au fond, lui adressa un signe de tête, même si elles ne se supportaient pas.

La préfète s'installa dans un fauteuil. Elle avait été conviée à la "soirée", ce n'était odnc pas à elle de prendre la parole. Et Enzelta, on en a l'habitude, ne prends la parole que lorsqu'elle en ressent réellement le besoin. Elle imaginait bien un Liam monter sur une table et haranguer la foule... héhé

Nat regardait bien rarement le panneau d'affichage situé dans sa salle commune, pourtant bien en vue. Mais ce jour là, quelque chose attira son attention; le nombre d'élèves massés devant. C'était assez inhabituel pour qu'il daigne s'y intéresser. Aussi, il se dirigea d'un pas nonchalant vers le panneau où avait été installé un petit mot à l'attention de tous les serpentard. L'inquisition refaisait des siennes. La cible? Les pauvres petits Poufsouffle. On leur demandait ouvertement de tout faire pour leur mener la vie dure. Une réunion était même prévue pour en débattre et connaitre l'opinion de chacun. Nat, lui, savait déjà ce qu'il en serait de son côté. Il n'avait besoin de l'ordre de personne pour malmener des élèves. Cela dit, il ne faisait pas de distinction. Aussi bien Poufsouffles que Gryffondor ou même Serpentard en prenaient pour leur grade. Ce qu'il aimait par dessus tout, c'était faire souffrir les autres élèves psychologiquement. mais plus encore que les élèves, c'était les profs ses cibles favorites. Plus difficiles à atteindre, moins fragiles d'esprit, c'était un véritable défi que d'essayer de les perturber au moins un peu.

Mais ce qu'il leur était demandé là, s'en prendre exclusivement aux Poufsouffle dans une gueguerre d'enfants sortit du bac à sable... c'était tout simplement ridicule. Il eut une moue de dédain devant le panneau et il surprit plusieurs élèves de première année le fixer d'un air d'incompréhension. Pour eux, c'était autant un jeu qu'une histoire d'honneur. Ils ne pouvaient pas comprendre ce sentiment de dégout que ce message provoquait en lui. C'était un appel puéril et qui ne méritait même pas qu'on s'y intéresse. Il passa donc son chemin, gardant à l'esprit l'heure de la réunion, se jurant tout de même d'y aller, juste histoire de connaitre les intentions de chacun.

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La journée passa toute entière sans que rien d'anormal ne vienne troubler la tranquillité d'esprit -assez rare d'ailleurs - de Nathaniel qui s'en retournait vers la salle commune. Lorsqu'il passa l'entrée, il vit tout de suite quel chahut ce serait que cette réunion. Il n'était pas l'un des derniers arrivés, mais déjà toutes les meilleures places étaient prises. Aussi bien les fauteuils moelleux que le long canapé où il aimait se prélasser avec un bon livre. Il était certains que bien peu manqueraient cette petite fiesta improvisée par les inquisiteurs. Cette pensée fit naître un rictus de dédain sur les lèvres de Nat qui alla tout de même s'asseoir, tout prêt de la cheminée, par terre et adossé à la pierre réchauffée par les flammes toutes proches. Il avait hâte de voir ce qui allait se passer. Mais lui ne changerait pas sa position. Il n'avait pas attendu les inquisiteurs pour maltraiter les Poufsouffles et il ne s'arrêterait pas en si bon chemin. Cela dit, avec lui, tous étaient logés à la même enseigne. Personne ne trouvant grâce à ses yeux, et tous lui paraissant plus pitoyables les uns que les autres, il déverserait sa haine sur eux sans rien changer à ses petites habitudes...

`Aspen ▬ On a toujours le cœur à se battre`

Tout avait pourtant commencé comme une journée banale, normale. Aspen s'était levée très tôt, à son habitude, s'était préparée pendant plus d'une heure et était finalement ressortie de la salle de bain vêtue de son uniforme aux couleurs de Serpentard. Jusque là, rien de très inhabituel. La brune était donc descendue dans la salle commune qui grouillait déjà de nombreux verts et argent. Elle lança quelques regards méchants aux plus petits pour qu'il la laisse passer avant que son regard ne soit attiré par le tableau d'affichage. Certes, elle ne le lisait que très rarement mais voyant la masse d'élèves qui l'entourait, elle décida d'y jeter un coup d'œil. Elle parvint devant à coup de coude et autres gentilles tapes amicales. Lorsque la brune finit de lire le parchemin épinglé sur le panneau, elle ne put s'empêcher de retenir un petit cri d'horreur qu'elle transforma vite en une toux lorsqu'elle sentit le regard de ses camarades. Puis elle s'éloigna du panneau et se précipita vers la sortie, direction son premier cours.

Toute la journée elle ne pensa qu'à ça. Elle ne suivit pas les cours et écouta encore moins que d'habitude les monologues de ses professeurs plus ennuyants les uns que les autres. Martyriser les jaunes, rien que ça. Et de la part de l'Inquisition par dessus le marché. Ils les prenaient vraiment pour des jouets, des marionnettes sans pensées et sans cervelle. Bien sûr, l'offre était alléchante. Faire souffrir les jaunes, sans risquer de punitions, c'était vraiment très tentant. Il y avait un bon nombre de jaunes que la brune voulait faire souffrir. Mais l'image d'une autre jaune s'imposa devant elle, celle d'une de ses Maraudeuses. Oui, même si il y avait de nombreux jaunes qu'elle haïssait, tous n'étaient pas mauvais et certains valaient même quelque chose. Aussi, elle avait déjà prit position sur ce qu'elle allait faire. Et puis en plus, elle n'allait certainement pas obéir à l'Inquisition et faire plaisir à Ombrage et Malefoy par dessus le marché ? Non, certainement pas.

Lorsqu'elle prononça le mot de passe, le soir pour rentrer dans la salle commune des verts et argent, la brune savait déjà ce qu'elle allait dire lors de la réunion. Ô elle ne pouvait certainement pas dire qu'il ne fallait pas mettre ce plan en œuvre car sinon, elle savait très bien qu'elle allait être la réaction des autres Serpentard. En revanche, elle pouvait très bien faire tomber leur plan à l'eau, avec ses tours dont elle seule avait le secret. Une petite revanche contre l'Inquisition ? Non à peine. Aspen darda son regard sur la salle et aperçut trois têtes familières, celles de Drusilla, Enzelta et Nathaniel. Malheureusement, les places aux côtés des deux jeunes filles étaient occupées, aussi elle leur lança un sourire accompagné d'un salut plein d'entrain. Puis elle se retourna vers le jeune homme assis sur le sol, près de la cheminé et se dirigea vers lui. Elle prit place à ses côtés et le salua. Elle regarda les autres élèves s'agiter et remuer dans tout les sens, impatients de connaître les nouvelles des Inquisiteurs. Ce comportement donna à Aspen un sentiment de profond dégout qu'elle montra en une moue hargneuse de sa spécialité. Puis, elle décida de ne plus regarder ces abrutis et se concentra sur la réunion qui n'allait sans doute pas tarder à commencer.

Citation :: Bonsoir,

Quinze jours se sont écoulés depuis la précédente réponse. merci de donner suite à ce topic