http://www.deezer.com/fr/#music/result/all/beethoven (première musique de la page, symphonie 14, j'ai crus comprendre que les musique d'ambiance était les bienvenue.)

Il ne devait pas être plus tard que deux heure du matin. A cette heure si les couloirs étaient vide, sans un bruit, atmosphère macabre, effrayante. Seul le bruit de ses talons résonnaient ici bas. L’obscurité était des plus total. Les bougie avaient étés éteintes depuis longtemps, et leurs cires ne coulait plus. Rien ne réchauffer les pierres de ce murs. Le couloirs le plus sombre, et le plus calme de l’école. Sentiment de solitude, tranquillité. La vie était si belle dans ces moment la. Personne pour l’ennuyer, personne pour lui dire quoi faire, pour lui faire des tas de reproche. Le calme le plus total. Un silence effrayant. Tous semblait mort ici. On pouvait entendre aucune respiration, sentir aucune présence, peut être seul la présence de la mort, des esprits qui hantaient ce couloirs. La mort, quelle beauté parfaite. La beauté éternelle, le calme le plus strident, rien n’était plus beau que la mort. Quelle choses étrange que de penser ainsi pour une jeune fille de dix-sept ans. Ce n’était pas normal. Elle n’était pas normal. Qu’est-ce la normalité de toute manière quand on portait son nom. Quand on portait la douce cicatrice d’une souffrance éternelle? Le gout de l’amertume, et la haine en sois. A cette âge la. Que de sentiment étrange. Il n’y avait rien de mal a être différente. Mais représenter le mal, était-ce vraiment normal lorsque l’on a que dix-sept ans? Nous sommes sensé être des gens plein de vie. Heureux. Les partie avec les amies, les petits copains. Tous cela. Mais pour elle, elle portait encore le poids du regard des autres. Ce n’était que la nouvelle. La nouvelle qui portait sur elle le visage de la mort, l’odeur du dégout et de la haine. Difficile a porter n’est-ce pas? Lorsque l’on a que dix-sept ans.

Seule dans les couloirs sombre et vide de l’école, elle marchait, marchait, marchait pour oublier a tel point elle se sentait seule, mais aussi, a tel point elle se détestait. Marchait seule dans les couloirs sombre de l’école, voila ce a quoi elle occupait toute ses nuits. La totalité de son temps. Le calme la reposait. Cela changeait du bruit sourd et strident de toute la journée. Les rires explosifs de tous les élèves, leurs voix qui porte a vous en percer les tympans. Quelle choses immonde que d’être un adolescent bruyant. Elle les détestait tous, les méprisait. Seul Liam avait réussi a la comprendre. Seul Liam lui avait ouvert son cœur, et seul cet être tant détestait de tous apparaisse comme la pires des faiblesse a la jeune fille. Perdue dans ses pensés, sa main caressait délicatement la pierre froide. Sentant une force qui émanait du mur, ignorant ce que c’était. S’orientant de la sorte, pour ne pas tomber sur des obstacle, car seule dans le noir,, elle ignorait ou elle allait. Sa cape lui caressait ses grande gambe dénudées. Elle avait froid, mais ignorait cela, car pour elle, cela faisait tous le charmes de ce couloir. Un courant d’air lui caressa ses longs cheveux brun, lui procurant ainsi un frisson le long de la colonne vertébral, pour aller mourir un peu plus loin, entre ses deux reins. A l’angle d’un murs, elle bifurqua a droite. Un grand vent froid lui repoussa ses cheveux en arrière. Elle ignora la peur, et pénétra dans ce couloir, sois disant interdit.

Braver les interdis, oui ça elle savait faire. Mais jouer les rebelles n’était pas son premier objectif. A quoi bon c’était si puéril. Comme ce gamin, Cassandre. Ce jeune homme a la gueule d’ange lui procurait tant de dégouts. Il avait tellement de charmes, et pourtant, il était si puéril, si con. Un être comme lui ne faisait que lui procurer tant de haine. Elle les haïssait. Toujours en train de sourire. Pourquoi cela? Pourquoi avoir tant de haine pour des gens qui semblait si heureux? La jalousie peut être. Elle, elle n’avait jamais connus le bonheur. Ou si peu. Elle sa vie, ce n’était que des coups, des pleures, le fouet de Samaël qui lui déchire la peau de son dos a l’ époque si frêle. Elle toute sa jeunesse, elle n’a fais que pleurer, hurler, supplier. Pourtant, tous lui ouvrait les bras. La beauté, l’argent, l’intelligence. Comme quoi que tous cela n’est que superficiel. L’argent ne fais pas le bonheur, ne la beauté. Mais l’amour peut être. Mais que connaissait elle de l’amour? Elle les repoussait tous. Les trouvant tous si vide de sens. Tous ces jeune qui ne connaissait rien a la vie. Elle avait dix-sept ans. Mais pourtant elle avait tué. Elle avait massacrer, déjà fais couler le sang. Elle avait déjà senti le vie s’évader, l’odeur des entrailles. Le supplice. La peur. Elle était tous cela. Et en était consciente. Elle était la mal .Elle était née pour faire le mal, pour ruer. Ce sentiment même d’être qu’une jeune psychopathe. Une machine de guerre. Pourquoi? Elle ne voulait pas savoir. Ce soir, elle ne voulait pas penser a la destruction. Rien de cela. Ce soir. Elle voulait rêver. Rêver d’amour. Pouvoir pour une fois dans sa vie ressentir un peu de chaleur au fond de son cœur. De l’amour, de la chaleur, et non de la haine… Elle voulais pouvoir se reposer sur l’épaule de quelqu’un, faire confiance. Et pourquoi pas pouvoir enfin tomber amoureuse… Perdue dans ses pensées, elle ne le vit pas arriver… Que faisait il a une heure si tardive dans le ce couloirs? Il ne pouvait voir uniquement que deux grands yeux plein de haine. Discretement elle sortie sa baguette. Elle aurait tant aimé pouvoir ce promettre a elle même qu'il sortirait vivant de cette aventure. Mais elle ne pus...

• " Qui es tu? D'où viens tu?"