▌ Rang : Blondinet-pouffy qui mange du chiantos a longueur de journée! ▌Swears : 352 ▌Age : 35 Localisation : Au fin fond des montagnes (Alpe d'Huez ^^)
Sujet: Don't cry and unwrite that song... (Night) Sam 9 Jan - 19:22
** Elle est ou cette putain de solution?**
Sa chambre était toute retourné. Impossible de trouver la solution a ce putain de problème. Et oui, Cass travaillait. Travailler quoi? Sur une nouvelle potion dont il n’avait toujours pas trouvé la solution. L’ingrédient magique qui ferait que tous fonctionnerais normalement. Cette journée il c’était penché sur son problème qu’il avait délaisser depuis quelques temps déjà. La neige tombait a flot sur l’école et il fallait qu’il ce change les idées si il ne voulait pas céder a la tentation du snow_board. Donc il c’était penché sur un peu de travail. Si seulement il pouvait trouver. Cela lui vaudrait une note optimal. Il avait retourner toute sa chambre a la recherche de tous ses livres de potion. Un seul petit ingrédient. Voila ce qui manquait. Une goute de quelques choses mais de quoi? Notre petit prodige des potion travailler enfaite sur une potion qui serais capable de ramener un mort a la vie. Mais ce durant qu’une petite heure, et seulement trois heure après le décès de celui-ci. Complexe, mais pourtant qui pouvait s’avérer pratique en cas de meurtre, ou encore merveilleusement bien pour dire un dernier au revoir a un proche. Personne ne connaissait bien sur le projet sur lequel il travaillait depuis déjà deux ans. Mais la, il ne lui manquait qu’un tous petit truc. Mais il ignorait quoi. Il envoya valdinguer un livre a l’autre bout de la pièce puis enfila une veste pour sortir dehors. Peut être que la neige lui apportera une réponse.
Son manuscrits sous les bras, il sortie a pied (oui pour une fois ça pouvait arriver), et marcha tranquillement sous la neige. Les flocons lui tombèrent dans le col mais il ne le remonta pas. Ca faisait si longtemps qu’il attendait ça, un peu de neige. Quelques élèves s’amusait dans un coin se lançant des boules. Des première années de Poufsouffle lui demandèrent de les aider a faire un bonhomme de neige. Il n’avait vraiment pas la tête a sa aujourd’hui. Il sortit alors sa baguette et a l’aide de celle-ci fabriqua une bonhomme représentant une caricature de Malfoys. Les gamins explosèrent de rire. C’était si innocent a cet âge là. Il s’alluma une cigarette, bien que c’était interdit et ouvrit son manuscrit, marchant, tous en cherchant. Faisant tourner sa baguette entre ses doigts. Il se remémora tous ce qu’il avait essayer, et tous ce qu’il avait appris. Le voir si sérieux était bien rare. Fallait en profiter. Bien entendus il évita tous ses potes. Vety lui aurait proposer de faire les première des conneries et lui aurait surement raconter toute sa vie, Pessy lui aurait encore fait plein de câlin, ou l’aurais sans doute ignorait. Ca dépendait de son humeur. Elenor. Il aurait était bien trop absorbé par elle. La c’était foutus! Enfaite, seul la compagnie de Ben l’aurait peut être aidé. Il sourit et rigola intérieurement. Mais son esprit imagina un tout autre visage. Celui d’une belle Serdaigle. Night.
La seule pensait de la jeune fille lui fit un pincement au cœur. Night. Il avait eu une relation avec elle, mais leurs différence avait eu raison de leurs histoire. Il était persuader qu’il n’était pas assai bien pour elle, alors il refusait de revenir en sa direction. Pour sois disant la protéger. Mais c’était d’un ridicule! Ben avait un caractère presque similaire au sien alors ou il était le problème? Il avait beau chercher, il ne trouvait pas. Il savait même pas si il avait encore des sentiments pour elle. Il était perturbé par la présence d’Elenor mais des qu’il était seul comme ça, c’était a Night qu’il pensait. Fallait pas chercher c’était bien compliqué ce qui ce passait dans sa tête. Et elle l’avait surement oublié depuis longtemps. Pourtant ce genre de temps le rendait nostalgique. Car l’an passé c’était avec elle qu’il allait se promener dans la neige. Elle restait là, silencieuse, l’écoutant. Il la faisait rire a chaque choses qu’il pouvait dire. Ils s’entendaient si bien. Alors ou il était ce putain de problème? Le problème, la solution, grrrrrrr encore un autre problème a trouver! Quelle merde! Il laissa tomber son manuscrit dans la neige. Et son mégot. Toutes ses recherche dont son travail de un an. Tous ça n’avait aucune importance. Il reviendra la dessus plus tard. Toute ses recherches disparurent sous le neige, alors que lui prenait la direction du château.
Ses gambes le menèrent au troisième étages. La galerie de armures. Qu’est-ce qu’il faisait ici, il en avait aucune idée. Mais il savait qu’il serait tranquille ici. Et c’est ça qu’il cherchait pour une fois. La tranquillité. Il avait aucune envie de rébellion, de faire une connerie, de réfléchir. Il voulait tous simplement rester seul. Oublier. Oublier quoi? Bonne question aussi. Encore des questions. Il s’assit contre le murs, entre deux armures. Recroquevillé dans ses pensées. Pourquoi il n’arrivait pas a oublier ce visage? Et oui, comme tous être vivant procédant un cœur le blondinet pouvait lui aussi, éprouver des sentiments qui pouvait faire mal. Mais pourtant, pourquoi maintenant? Il n’avait pas repensait a elle depuis quelques temps déjà. Serait-ce la neige qui lui faisait revenir tous ses souvenirs? C’était sensé le rendre heureux pourtant. Il ferma les yeux, continuant de voir son visage et se parla a lui-même. Des tas de remords. Encore.
** Rappel toi, tu était trop différent d’elle. T’a préféré tout arrêter mais tu t’es encore crasher en plein vol. Je crois que parfois tu oublie que les gens on un cœur. Ne réponds pas a toutes ces questions. Tu la laissé partir, tu la fais partir, alors contente toi d’en retenir la leçon. Mais tu sais bien que tu ne peux pas l’oublier. Tu vois qu’il te manque quelques choses. A tu oublié que toi aussi, tu a un cœur? Tu nage en plein cauchemar. Chaque nuit tu te demande comment est sa vie, si tous ce passe comme elle veut. Est-ce qu’elle a mal quand elle pense a toi? Son cœur est-il brisé? Car oui, le tiens, avoue le, il l’est. C’est facile d’être fâché et de ne jamais pardonner. Fâchés. On est juste fâché… Est-ce que tu me pardonnera un jour? Est-ce qu‘on ce reverra? Peut on devenir ami? Non je ne réponds aps a toutes ces questions. Je t‘ais laissé partir…**
Il se surpris a sentir deux trois larmes couler les long de sa joue. Mais pourquoi il se sentait comme ça? Il fallait qu’il passe a autre choses. Enfaite il pensait être passé a autre choses. Mais a priori ce n’était pas le cas. Il sortit sa baguette et le fit tourner entre ses doigts. Il avait envie de fumer. Il se mordilla les lèvres essayant en vain de penser a autre choses. La solitude le pesait enfaite. Il pensait que pour une fois ça lui ferait du bien, mais loin de la. Ce le faisait encore bien plus cogiter. Les armures ne bougeaient pas. Ce n’était qu’une légende. Mais il sentit quand même un regard posé sur lui. Il releva la tête vers la statut en fer.
« Qu’est-ce t’a toi? »
Il rabaissa la tête un large sourire au lèvre. D’ailleurs il ne psu retenir un petit rire discret. Ba vla qu’il parlait au armures maintenant. Ca n’allait plus dans sa tête. Il rigola tous seul, essayant de retrouver un peu d’optimisme. Il étendit ses gambes et regarda autour de lui. Le regard ne venait pas de l’armure. Quand il la vit ses joue prirent une couleur pourpre. *Quel con* pensa-t-il. Il resta assit, planté là. Il se contenta de lever les yeux vers Night. Mais qu’est-ce qu’elle faisait ici? Savait-elle que le couloir était dangereux? Ca y’est, fallait encore qu’il veuille jouer les servant chevalier protecteur. Il ne savait pas quoi dire. Ca faisait combien de temps qu’elle était là? Il savait pas. Puis merde, encore toute ses questions mais c’était incroyable. Fallait bien qu’il dise quelques choses.
« Salut. Je deviens pas fou rassure toi. Je…. Divaguait juste un peu. »
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Sujet: Re: Don't cry and unwrite that song... (Night) Sam 9 Jan - 20:56
« La journée avait été bien remplie et, en dépit de ses efforts pour rester éveillée, Heather commença bientôt à cligner des paupières. Alors, Mary l'accompagna sous la tente, l'aida à se déshabiller et à enfiler une chemise de nuit bien chaude. Le sommeil terrassa la fillette en quelques secondes. À son retour, Mary s'assit près de Jack et glissa sa main dans la sienne. Hanche contre hanche, ils regardèrent les braises incandescentes s'éteindre peu à peu, en silence. Ils n'avaient pas besoin de parler, le fait d'être ensemble leur suffisait. De loin en loin, on entendait les bruits des autres campements, qui brisaient le silence épais de la forêt. une mère endormait son enfant. Un chien aboya, son maître le réprimanda. Puis, petit à petit, ces sons s'étouffèrent, et Mary et Jack eurent la troublante impression de se retrouver seuls au monde. La jeune femme abandonna sa tête contre l'épaule de son compagnon. Encouragé par ce geste tendre, il glissa un bras autour de sa taille et lui embrassa les cheveux. Elle ferma les yeux, bercée par le murmure des vaguelettes du lac qui venaient mourir sur le sable. La veste de Jack sentait le feu de bois. La brise qui lui caressait les joue semblait si fraîche comparée à la chaleur du corps de Jack. »
Nightingale arrêta là sa lecture du roman Moldu " Un amour retrouvé " de Robin Lee Hatcher. Il faisait partie de la collection Harlequin, des romans à l'eau de rose pour les Moldus. Pourquoi l'avait-elle lu celui-ci plutôt qu'un autre ? Elle n'en avait pas la moindre idée ! Tout ce qu'elle savait, c'est qu'elle était attirée par cette histoire d'un couple brisée, d'une mère célibataire cherchant à refaire sa vie, et du père qui n'était même pas au courant de sa situation. Bien sur, elle se doutait depuis le début que les deux amants finiraient à nouveau ensemble, mais cela n'enlevait en rien la magie du livre. Night ne se rappelait même plus quand elle l'avait acheté tellement cela remontait. C'est fou ce qu'un petit élément de notre vie quotidienne peut nous rappeler des souvenirs. Lorsqu'elle avait lu cet extrait, elle n'avait pu s'empêcher de penser à Cassandre, encore et toujours. Ah ce qu'elle détestait cela ! Le passé c'était le passé ! C'est vrai qu'elle avait été bien avec lui, et qu'il avait le premier dont elle était réellement amoureuse, mais il fallait bien passer à autre chose, non ? Pourtant, en lisant cet extrait, elle avait eu l'impression qu'on lui transperçait le cœur avec un poignard. N'arriverait-elle donc pas à l'oublier ? Ce n'était pourtant pas si compliqué ! Mais elle se rappelait le livre. La jeune femme, Mary, n'avait pas réellement oublié son premier amour, et lorsqu'elle l'avait revu, des années après, elle avait ressenti la même chose que lorsqu'ils étaient ensembles. Serait-elle condamner à ressentir la même chose, elle aussi ? Peut être bien, seulement, leur histoires n'étaient en rien les mêmes ! Tout d'abord, elle n'avait pas eu d'enfant, elle, et tant mieux, car elle ne savait pas si elle aurait été une aussi bonne mère que Mary. Puis, Night vivait dans la réalité, pas dans un conte de fée, où tout redevient comme avant, et où les choses s'arrangent. Elle oubliait Cassandre un jour, elle le savait,mais la question était quand ? S'il avait fallu à cette héroïne de roman une dizaine d'année pour le faire, et encore, elle était retombée dans ses filets lorsqu'il avait réapparu, combien de temps lui faudrait-il ? Des années sans doute. Après tout, on oublie pas son premier amour comme ça, comme si rien ne s'était passé ! Ou alors c'est que l'on a pas vraiment été amoureux de cette personne.
Le cœur de Night battait à toute allure dans sa poitrine, et elle avait l'impression qu'il allait lui déchirer la cage thoracique. Elle ressentait le besoin de relire cet extrait empli de douceur et d'amour qui brulait en eux. La jeune fille s'installa plus confortablement sur le canapé de sa salle commune sur lequel elle était assise depuis une bonne heure et demie et le relit attentivement. Elle sentait les larmes monter en elle, mais elle ne pouvait pas les contrôler. Elle regardait autour d'elle pour voir qui était présent dans la salle, et malgré ses yeux tout embuer de larmes, elle réussit à distinguer un certain nombre de silhouettes familières. Elle devait partir sur le champ. Pas question de pleurer comme une guimauve devant eux. Elle se leva donc, pour aller dans les dortoirs, mais rien à faire, ici encore se trouvait beaucoup d'élèves. Elle posa son livre sur son lit, et s'en alla. Une fois la porte passé, elle se retrouva dans les couloirs, et ne pouvait s'empêcher de se rappeler tout les petits moment de tendresses qu'elle et Cassandre avaient eu. Elle avait l'impression de revivre cette période, comme si rien n'avait changé entre temps. Arf ! L'amour ! Qu'est-ce que c'était nul ! Pourquoi se sentait-elle comme ça aujourd'hui même ? Ce n'était pas le premier roman d'amour qu'elle lisait depuis leur rupture ! Peut être était-ce un jour de pleine lune, car elle était souvent dans cet état d'esprit nostalgique et très émotive lorsqu'il y en avait une. Ou alors était-ce les hormones féminines qui lui jouait des tours ? Allez savoir ! De toute façon, cela ne changeait rien à la situation de savoir le pourquoi du comment ! Elle se sentait blessé, à fleur de peau, mais par dessus tout faible, comme si elle n'avait plus la moindre force dans son organisme. C'était une drôle de sensation qu'elle n'avait jamais éprouvé auparavant, un peu comme si tout autour d'elle allait s'effondrer, y compris elle-même.
Sans s'en rendre compte, elle s'était rendue jusqu'à la salle des armures. Elle savait que c'était sans doute le seul endroit de Poudlard qui n'était pas fréquenté, excepté les toilettes, et encore, un tas de filles commençait à être de plus en plus superficielle et à y rester des heures, pour faire je ne sais quoi. Bref, peut importait royalement ! Night entra dans la salle en toute discrétion et sans un bruit. Elle n'avait aucune envie d'attirer l'attention. Les larmes roulèrent alors sur ses joues sans qu'elle puisse les contrôler. Cet extrait l'avait totalement bouleversé, sans qu'elle le veuille réellement. Mais pourquoi se mettait-elle dans un état pareil pour quelque chose qui appartenait désormais au passé, alors qu'elle n'avait aucun mal à " quitter " sa mère chaque rentrée durant toute l'année scolaire ? C'était incompréhensible ! Elle sanglotait en silence quand elle entendit un petit bruit venir de plus loin. Oh non ! Alors comme ça elle n'était pas seule ? Penchée contre la porte, elle ne savait pas quoi faire. Devait-elle partir ou aller voir de qui il s'agissait ? Peut être qu'elle était passé inaperçue et le fait de se montrer la grillerait comme une ville chaussette... Finalement, elle se décida à aller voir qui pouvait bien se cacher dans cette pièce, même si elle risquait de le déranger. Elle pria juste pour ne pas tomber sur un Gryffondor qui lui en voudrait à mort. Pas à pas, elle s'avançait vers l'inconnu, et vers ces petits bruits de - de pied que l'on fait glissé sur le sol ?- ... S'avançant d'un pas mal assurée, elle sentait ses larmes continuer leur course sur ses joues, mais aucunes nouvelles ne sortaient de ses yeux. Au moins une bonne nouvelle !
Soudain, elle se fixa. La silhouette assise dans un coin de la pièce, ces bruits qui provenaient de je ne sais où, n'étaient autre que ceux de Cassandre. La source de son tourment à ce moment se trouvait juste devant elle. Elle voulu alors rebrousser chemin, mais à ce moment là, la tête du jeune homme se leva, et il lui dit alors ces quelques mots :
« Qu’est-ce t’a toi? »
Sur le coup, elle fut surprise. Il ne lui avait jamais parlé comme ça, et elle ne savait pas qu'il croyait qu'elle était en fait une statue. Elle sentit son cœur se serrer une nouvelle fois, et elle mourut d'envie de partir en courant de s'effondrer en larmes sur son lit, mais sa voix la retint.
« Salut. Je deviens pas fou rassure toi. Je…. Divaguais juste un peu. »
Qu'était-elle sensé lui répondre à ce moment ? " Ne t'en fais pas ce n'est rien. " Ou encore " Qu'est-ce qui ne va pas ? " Mais serrait-elle seulement apte à l'écouter à ce moment ? Malgré tout, elle allait tenter de rester en sa compagnie, et de faire comme si rien ne s'était passé. Elle sentait à présent son cœur fait des bons incroyables dans sa poitrine, comme si l'unique fait de le revoir en face d'elle, et de pouvoir discuter ne serrait-ce qu'un petit moment allait l'aider à oublier le mal qu'elle ressentait au fond d'elle. Elle réussi tant bien que mal à articuler ces quelques mots :
Qu'est-ce qui ne va pas ?
Attendant sa réponse avec impatience, elle s'assit en face de lui, ne se souciant pas plus que ça de savoir si sa présence le dérangeait ou non.
Hi It'sCassandre Azalea
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Sujet: Re: Don't cry and unwrite that song... (Night) Dim 10 Jan - 3:57
Il la regarda s’assoir en face de lui, mais il n’osait même pas la regarder dans les yeux. Que lui arrivait il? Il enfouit sa tête dans ses genoux, essayant ainsi de sécher les quelques larmes qui coulèrent avec discrétion. Jamais il ne c’était mis dans de telle états pour une fille. Lorsqu’elle lui demanda ce qu’il ce passait, il savait même pas ce qu’il devait répondre. Ni ce qu’il devait faire. Lui dire qu’elle lui manquait? Trop oser. Lui dire qu’il l’aimait encore? Trop déplacer et trop brusque. Oui il avait fait une erreur en la quittant. Oui il avait fait une erreur mais c’était juste un home non? Des fois il la voyait parler avec d’autre type. Lui faisant la cour. Quand ils lui disaient les mots qu’elle voulait entendre, il aurait aimé être a leurs place. Mais comment lui faire comprendre tous ça alors que lui-même ne savait plus ou il en était? Il aimait bien Elenor, cette fille si excentrique, si, comme lui enfaite. Et il y avait cette autre fille dont il n’osait a peine prononcer son nom. Ouai c’est sur, le blondinet était perdus. Ca n’en faisait aucun doute. Lorsqu’il releva la tête, il croisa enfin son regard. Ses yeux étaient un peu gonflé et il sentit qu’elle était un peu gêner. A vrai dire, au bout de huit mois de relation, il avait appris a bien connaitre la jeune fille. Il avait l’impression de la connaitre par cœur et de lire en elle comme dans un lire ouvert. Alors il n’eu pas de mal a voir d’où venait la source de sa peine. Des raisons pour laquelle des qu’ils se parlaient il finissaient toujours par s’engueuler.
« Night je… »
Mais que pouvait il bien lui dire? Désolé? Pfff minable. La prendre dans ses bras? Non trop douloureux. Malgré tous ce qu’il avait laisser derrière lui depuis leurs séparation, il ne savait plus trop en quoi croire. Il pensait avoir réécrit l’histoire. Mais non. La cicatrice se rouvrit spontanément. Son cœur se brisa. Si on pouvait faire pire. Mais comment avait il pus se cacher tous ça durant les moins qui avait précédé leurs rupture? Le jour ou il lui avait dit que tous était fini. Qu’il ne pouvait rester avec elle, car de toute manière il finirait par lui faire du mal et il en avait pas envie. Toutes ses fausses raisons qu’il se donnait ne justifiait plus rien. Il se mentait a lui-même. Mais un truc en lui l’empêcher de revenir vers elle. Cette autre fille peut être? Celle dont il n’osait a peine prononcer le nom. Mais quelle connerie! Non! Complètement perdus il se contenta d’enfouir sa tête dans ses genoux une seconde fois.
« Je suis trop con putain! »
Oui il se parlait tous seul. Ca pouvait arriver quand on c’est plus ou on en est. Et la c’était son cas. Il se laissa aller pour la première fois de sa vie. Fallait un début a tous. Les larmes coulèrent le long de sa joue a tel point qu’il n’osait même pas relever la tête. Pourquoi avait il honte de ce qu’il ressentait? Pas de ce qu’il ressentait, mais de ce qu’il avait fait. C’était bien beau de vouloir ce faire passer pour le jeune con du bahut. Le type cool qui ne se prends pas la tête. Qui ce fous de tous. Le type qui ne vit que pour ses potes, et le sports et ses potions. Ses potions. Voila ce qu’il lui fallait. La colle a cœur brisé. Il réfléchira a ça plus tard quand il aura le cœur a ça. Mais c’était pas gagné. Il envie rien a foutre. Son super projet qui aurait révolutionner la potion, il l’avait laisser la bas, dans la neige. Il avait la tête a rien. Il trouva quand même la force de relever la tête pour chopper une cigarette dans sa poche. Au diable le règlement. Il l’alluma et fixa de nouveau Night dans les yeux. Sans rien dire. Les yeux gonflé par les larmes. Jamais elle ne l’avait vus comme ça, car jamais elle n’avait sus que le jour de leurs rupture, il c’était enfermé dans sa chambre pendant trois jours. Trois jours ou il avait fait que pleurer, pleurer et encore pleurer.
« Tu me déteste je le sais. Je suis trop con. Je réfléchis jamais c’est bien connue. C’est trop tard. Je t’ai fais de la peine. Je m’en suis fais. Je suis complètement pommé. J’ai étais égoïste, stupide. Tu ne me mérite pas-tu sais. »
Sans même savoir pourquoi, il lui attrapa la main de sa main libre. Voila qu’il recommençait avec ses putain « tu ne me mérite pas ». Mais il pouvait pas arrêter de temps en temps et regarder la vérité en face? La tête collé contre le murs, sa main dans celle de Night, il fumait sa clope sans plus rien ajouter. Il avait tous gâcher. Point. Il n’y avait plus rien a dire la dessus.
Hi It'sInvité
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Sujet: Re: Don't cry and unwrite that song... (Night) Dim 10 Jan - 15:03
Night ne pouvait que sentir la détresse face à elle, cette douleur en Cassandre qui les mettaient tout les deux dans une drôle de situation. Elle se sentait flageolante d'un seul coup, proche de tomber dans les pommes, mais elle devait se surpasser et mettre de côté cet autre malaise. Mais comment pouvait-elle tenir le coup de cette manière ? Cela faisait un moment qu'ils n'avaient pas réellement discuter, comme autrefois, et là, maintenant qu'ils s'étaient vus, ils étaient dans des états pas possibles. D'où cela venait-il ? Pourtant, autrefois, le seul fait de le voir, même de l'apercevoir, procurait à la jeune fille une étrange sensation de bien être et de douceur, mais surtout de bonheur. Aujourd'hui, elle sentait son cœur se briser, se faire poignarder de tout côtés, et son estomac qui se nouait en tout sens, sa gorge qui manquait cruellement de salive, et les mots qui n'arrivaient pas à sortir. Elle avait envie de lui dire qu'elle était là, qu'il n'était pas con, comme il le disait, mais qu'il avait fait ce qu'il pensait être le mieux pour eux deux, mais aucun mot ne pouvait sortir de sa gorge. Elle essayait pourtant et redoublait d'effort, mais seul sa bouche s'ouvrait, sans produire le moindre son. Que ferrait une héroïne de roman dans cette situation, hein ? Elle ne s'enfuirait pas en courant, quoi que, non ça c'était après, lorsque son amant lui disait qu'il l'aimait toujours alors qu'elle tentait de toutes ses forces de l'oublier. Elle resterait là, à comprendre la détresse de l'autre ? Mais Night en était elle seulement capable ? Après tout, elle était d'une faiblesse incroyable, et même si on lui avait dit le contraire durant son enfance, elle ne le croyait pas. Comment une fille comme elle pouvait être " très courageuse " ou encore " très brave et forte ". Non, cela ne devait pas être elle, ce n'était pas possible. Aujourd'hui, elle se sentait honteuse, mais elle ne savait pas pourquoi, et aussi très gênée par la situation. Elle n'avait jamais vu Cassandre dans un tel état, et ressentait ce qui n'allait pas, ces émotions qui remplissaient la pièce. C'était à croire que ces émotions étaient aussi fines que des particules de poussières et qu'elles se baladaient dans l'air, tantôt se posant sur les habits des deux jeunes gens, tantôt sur leur peau. Comme si, ces particules, une fois posées sur eux, dégageaient toute leur énergie, et les émotions de l'autre venaient faire place dans le corps de son amant. En fait, c'était très étrange, et surtout déstabilisant. La vois de Cassandre vint alors la sortir de ses pensées étranges.
« Night je… »
Mais il se stoppa net. Qu'aurais-t-il donc dit s'il avait terminé cette phrase ? Sans doute lui même ne le savais pas. Mais que pouvait-on bien dire dans ce genre de situation ? Qu'on regrettait ? C'était vraiment simple comme solution. Une fois le mal fait, tout est simple comme bonjour, on peut dire " pardon, je suis désolé, je regrette je ne voulais pas te faire souffrir " mais le mal et là, bien présent jusque dans nos entrailles. Que ce n'était pas ce qu'on voulait, que les choses auraient du se passer autrement ? Peut être bien, mais les choses ne sont pas pré-programmés pour se passer comme on le veut. Que c'était la meilleure des solutions ? Figurez-vous qu'il n'y a jamais de meilleure solution, on pense juste que celle qu'on adopte est la bonne, mais comment savoir ce qui est le mieux ? Ce n'est tout simplement pas possible, on agit, et on se rends compte que les autres solutions auraient peut être été préférables, ou tout aussi envisageables que celle qu'on a choisis. Qu'on est toujours amoureux de l'autre ? C'était peut être possible, mais il ne fallait surtout pas le dire. Pourquoi ? Parce que cela ferrait fuir l'autre, plutôt que de le faire se jeter dans vos bras. L'amour nous effraye tous, c'est un sentiment que nous ne contrôlons pas, et lorsqu'on nous dit que l'on nous aime toujours, alors qu'on tente du plus profond de notre âme de passer à autre chose, et que l'ont croit y être arriver, c'est la pire des choses qui puisse arriver à une femme. Comment gérer tout ça ? Et que faire à ce moment ? Quelle bonne question ! Nightingale se jura de toutes ses petites forces minuscules à ce moment, de ne plus jamais retomber amoureuse. C'était bien trop douloureux. La voix de Cassandre vint une nouvelle fois interrompre ses pensées presque pathétiques.
« Je suis trop con putain! »
Night ressentait deux sentiments en elle, se battant pour savoir lequel était le plus fort. D'une part, la colère, l'incompréhension de la rupture et son irrationalité. Elle avait envie de lui hurler que oui il était con, qu'il était en plus très maladroit, et qu'il devait lui donner une raison valable à cette rupture, qu'elle comprenne au moins pourquoi son cœur n'arrivait pas à guérir. Mais d'un autre côté, elle avait envie de se jeter dans ses bras, de le serrer aussi fort contre elle qu'elle le pouvait, et de lui dire que ce n'était rien, ça arrivait à tout le monde, et elle comprenait. Que faire dans cette situation ? Pour une fois, elle n'en savait rien. Elle avait beau penser aux personnages des livres qu'elle lisait, rien ne lui venait. Elle ne trouvait tout simplement aucune aide pour la sortir de là. Mais c'est à ce moment qu'elle vit la tête de son amant se baisser entre ses genoux, comme honteux. Elle sentait qu'il pleurait, et cela la mettait encore plus mal à l'aise. Elle ne l'avait jamais vu dans cet état, et se demandait bien comment elle allait devoir agir. Oui, Night réfléchissait à tout, ou presque, et n'agissait que spontanément lors de ces petits jeux avec tout le monde. Elle avait un cerveau et aimait l'utiliser, même si elle l'utilisait trop, justement. Elle le savait mais elle pensait que chaque action n'était jamais laissé au hasard, et qu'avec un peu de contrôle sur ses propres actions elle arriverait peut être à changer son destin. Mais que faire en cet instant ? Son cerveau ne fonctionnait plus, elle ne pouvait compter que sur elle.
« Tu me déteste je le sais. Je suis trop con. Je réfléchis jamais c’est bien connue. C’est trop tard. Je t’ai fais de la peine. Je m’en suis fais. Je suis complètement pommé. J’ai étais égoïste, stupide. Tu ne me mérite pas-tu sais. »
Il n'avait pas totalement tord. Une partie d'elle le haïssait pour tout le mal qu'il lui avait fait, mais l'autre partie, était bien plus compliquée. Elle l'aimait encore, elle le savait, et elle n'avait pas envie de le blesser. Il lui prit alors la main de sa main libre, l'autre étant occupée à tenir une cigarette. Cigarette qu'elle avait bien envie de fumer à son tour. Elle ne fumait que très rarement, quand ça n'allait pas. Elle avait commencé très tôt, vers 12 si elle se rappelait bien, à cause de sa mère... Et maintenant, elle sentait qu'elle en avait plus qu'envie, mais si elle recommençais, elle ne pourrait plus s'arrêter, elle le savait. Alors elle passa outre ce désir, et face à la détresse de plus en plus grande de Cassandre, elle lui serra la main un peu plus fort pour lui faire comprendre qu'elle était là, et qu'elle ne lui en voulait pas vraiment. Puis, elle s'approcha délicatement de lui, et de sa main libre, elle essuya les gouttelettes qui perlaient sur le visage du jeune homme. Même si elle ne comprenait pas pourquoi tout les garçons et les filles aussi disaient " tu ne me mérites pas ", elle passa outre ce nouveau détail. Après tout, qu'est-ce qu'on en savait de ça ? Que mérite-on réellement dans la vie ? Personne ne le savait. Elle s'approcha encore plus de Cassandre, le serra très fort contre elle, et lui murmura à l'oreille :
Pchut, tu te fais du mal pour rien. Tu es loin d'être con, et égoïste, et stupide. Bien au contraire. Ne te sous-estime pas.
Elle n'avait aucune idée de la manière dont ses mots étaient sortis de sa bouche, mais une chose est sure, elle avait fait face à tout ces sentiments contradictoires, et elle se sentait à nouveau forte, au moins un tout petit peu. Elle se devait de l'être pour lui, car il elle craquait à son tour, les choses n'allaient pas pouvoir s'arranger. Malgré ses yeux tout embués de larmes, elle les retenaient, et regardait Cassandre dans les yeux, dans l'espoir qu'il y vit toute l'estime qu'elle avait pour lui.
Hi It'sCassandre Azalea
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Sujet: Re: Don't cry and unwrite that song... (Night) Dim 10 Jan - 20:41
Son cœur se mit a battre quand elle le prit dans ses bras. Pourquoi faisait elle ça? Il lâcha spontanément la cigarette, et la serra fort contre lui. Il profita de ce cour moment de bonheur. Il ne parla pas, se contenta de fermer les yeux et de se rappeler des huit mois qu’ils avaient passé ensemble. Était-il vraiment trop tard? Avait il encore une chance de la récupérer? Non il ne pensait pas. Il l’avait vus discuter avec Ben. Son meilleur ami. Il se sentait trahit. Mais il ne pouvait lui en vouloir, car comment ne pas être attirer par une si merveilleuse créature qu’était Night? Une déesse. Et ils avaient tant de point en commun tous les deux. Il ne pouvait pas lui en vouloir. Ni a elle, et encore moins a lui. Il la serra encore plus fort contre lui, comme s’il s’agissait d’un dernier adieux. Les yeux fermé, il se força a penser a autre choses. Un visage lui apparut. Pas celui qu’il imaginait. Il ne savait pas d’où lui venait cette image, ni pourquoi d’ailleurs. Mais ce ne fut qu’éphémère, et il retourna vite a la réalité. Car c’était bien le parfum de Night qui lui montait dans les narines. Ce doux parfum qu’il avait tant apprécié sentir durant ces huit moi. Elle semblait si indifférente, si forte, comme si elle était passé a autre choses. Pourtant il pouvait sentir cette douleur en elle. Cette cicatrice que lui-même lui avait affligé. Comment il avait put faire ça? Il la serra encore plus fort dans ses bras. Lui caressant les cheveux. Lui déposant un doux baisé dans son cou. Il n’avait pas envie que cela cesse. Son cœur se brisa de nouveau. Il ne voulait pas rompre ce contact, mais il le fallait bien. Ben était peut être plus apte que lui a la rendre heureuse. Il lâcha enfin son emprise sur elle, et s’adossa contre le murs, gardant la main de Night dans la sienne.
« Je suis vraiment désolé pour tous tu sais. Je me suis encore mis dans une drôle de situation. Je t’ai fais du mal je le sais. Mais le pires c’est que je m’en fais a moi aussi. J’ai merdé sur toute la ligne dit pas le contraire. Comment tu peux me regarder droit dans le yeux et me dire tous ça? Je veux dire, pffff… Je crois que je t’aime toujours Night… et ça me bouffe de l’intérieur tu comprends. »
Sans était trop pour lui. Il la resserra fort dans ses bras et l’embrassa comme il ne l’avait jamais fait auparavant. Le contact de ses lèvres chaude et sucré sur les sienne lui donna spontanément du bôme au cœur. Il avait finalement réussi a la trouver sa colle a cœur briser. Il ne savait pas ce qu’il faisait, mais il savait aussi que se serait le dernier baisée qu’il pourrait lui donner. Alors pendant le geste lui-même, tous ces souvenirs lui revinrent en tête comme une boule de bowling. Ces huit mois passé avec elle. Toutes leurs joie et leurs peines. Ces moments a marcher mains dans la mains au bord du lac, par tous les temps. Ses crises de jalousie quand il allait voir Tonia. Son rire. A chaque fois qu’il la faisait rire il avait l’impression que le désespoir n’existait plus sur terre. Toutes ses larmes qu’il avait réussi a sécher avec un simple baisé. Huit mois de bonheur qu’il avait interrompus pour il ne sait quelle raisons. La rupture. Il l’avait laissé plantée là, partit dans se retourner tellement les larmes c’était emparé de lui. Oui il l’aimait. Et oui il l’avait perdus. Et c’était trop tard. Car il sentait que maintenant c’était a Benji qu’elle pensait. Les yeux ferma. Il repensa a tous ça. Mais sans comprendre un autre visage vint se mêler a tous ces souvenirs. Il ne comprit pas tous de suite ce qu’elle venait faire ici. Mais il ne pouvait le nier, il était perdus de toute manière. Mais ce visage ce fit plus persistant, et il fut obligé de s’admettre a lui-même que plus jamais rien ne serait comme avant avec Night. Il aurait aimé s’enfuir, mais il ne pouvait plus fuir. Il n’en avait plus le droit. Il savait aussi qu’elle aurait du le frapper a ce moment même. D’ailleurs, si elle le frapper, il se laisserait faire. C’était bien fais pour lui.
« Je sais pas ce qui m’a pris je suis désolé. J’ai perdus le contrôle j’ai dérapé. Je… Laisse tomber. Je sais que c’est lui que tu veux maintenant de toute manière. Je ne peux plus rien y faire… »
Hi It'sInvité
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Sujet: Re: Don't cry and unwrite that song... (Night) Dim 10 Jan - 23:27
La jeune fille ne savait pas pourquoi elle était allée le serrer dans ses bras, aussi fort qu'elle le pu, même si elle n'avait plus que quelques forces à ce moment là. Cela c'était passé sans même qu'elle s'en rende compte, dans un élan, elle s'était retrouvé dans ses bras, et elle se blottissait de plus en plus contre lui lorsqu'elle l'avait remarqué. Comment pouvait-elle être aussi naturelle avec lui alors qu'il lui avait fait tant de mal auparavant ? C'était à peine croyable, tant pour lui, sans doute, que tant pour elle-même. Tout ses sentiments passés, quand ils étaient encore ensemble, commençaient à revenir petit à petit à la surface, et malgré son malaise proche, elle ne se sentait pas la force de briser leur étreinte, qui leur manquait tant, et qui paraissait totalement irréelle. Night avait l'impression de rêver, et que tout ceci allait disparaître dans un nuage de fumée d'ici quelques instants, que lorsqu'un des deux ouvrirait la bouche, tout allait s'effacer. Mais elle ne le voulait pas, non elle ne pouvait pas le laisser partir comme ça, et s'en aller, pour ne jamais revenir. C'était impossible, elle avait besoin de lui, au moins de l'apercevoir dans les couloirs, de se demander où il était et ce qu'il faisait, de se l'imaginer encore et encore, et surtout de le regarder du coin de l'œil, discrètement quand il n'était pas loin et que personne ne l'observait. Elle ne pouvait tout simplement pas laisser ce rêve, cette hallucination, oui car elle croyait que s'en était une, s'en aller comme ça. Plusieurs sentiments contradictoires venaient jouer dans son cœur et s'amusait à le torturer, et à le retourner dans tout les sens, sans jamais s'arrêter. Que c'était cruel ! Soudain, elle entendit sa voix, et crut que tout allait disparaitre.
« Je suis vraiment désolé pour tous tu sais. Je me suis encore mis dans une drôle de situation. Je t’ai fais du mal je le sais. Mais le pires c’est que je m’en fais a moi aussi. J’ai merdé sur toute la ligne dit pas le contraire. Comment tu peux me regarder droit dans le yeux et me dire tous ça? Je veux dire, pffff… Je crois que je t’aime toujours Night… et ça me bouffe de l’intérieur tu comprends. »
Il l'aimait encore ? Ces simples mots suffirent pour la faire se sentir encore plus mal qu'avant. Comment pourrait-elle l'oublier, maintenant qu'elle savait ça ? Ça y est, elle avait l'impression que le monde allait s'écrouler, et elle avec. Elle ne se sentait pas la force de continuer comme ça, comment avait-il pu le lui dire ? C'était bien trop dur. La vérité était encore plus difficile à affronter que l'ignorance. Au fond, elle regrettait de savoir ça maintenant. Elle s'était souvent demandé si les sentiments du jeunes hommes étaient encore là ou non, mais maintenant qu'elle connaissait la réponse, c'était encore pire, et beaucoup plus dur à affronter. Alors qu'elle était en pleine réflexion sur tout ça, Cassandre l'embrassa, ce qui au début eu pour effet de la surprendre. Elle ne s'y était pas attendu du tout. Elle se laissa aller, malgré les protestations sévères de son cerveau qui bouillonnait de rage que pour une fois elle ne l'écoutait pas. Elle allait s'en doute le regretter, mais pour le moment elle s'en fichait royalement. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas laissé son cerveau de côté pour être un minimum spontanée. Mon dieu que ce baiser lui faisait du bien ! Cela manquait cruellement à la jeune fille. Ces baisers tendres mais parfois plus passionnés, et ces câlins réconfortants et chauds, tout cela étaient devenus essentiel pour elle, à l'époque. Et maintenant, elle ressentait simplement ce manque en elle, qui lui faisait souffrir le martyr. Quand leur baiser s'acheva, elle en eu les larmes aux yeux, comme si ils se disaient adieux, et que tout allait se terminé, comme si Cassandre partait au combat, et qu'il n'était pas sur de revenir vivant. Elle se décida à parler, pour lui exprimer sa peine.
Tu n'aurais pas du Cassouille. Ça va nous faire encore plus mal à tout les deux. J'ai aussi été trop stupide pour ne pas t'arrêter. Ce n'était peut être pas une bonne idée
Night avait envie de déguerpir et de se réveiller dans son lit, en sueur et le haletante, mais au moins, elle aurait su que ce n'était qu'un songe. Si seulement cela aurait pu être vrai, elle se serrait sentie rassurée, alors que là, elle se sentait de plus en plus mal. On venait de lui transpercé le cœur des centaines de fois, et on prenait d'ailleurs un malin plaisir à le lui faire. Elle ne savait pas d'où venait cette douleur, mais elle se sentait réellement au fond du gouffre, comme si rien n'allait pouvoir l'aider à se relever après ça. Maintenant, c'était de pire en pire. Elle ne voulait pas que Cassandre la laisse, mais elle sentait qu'elle devait partir, sinon les choses s'envenimerait. Peut être allait-il l'en empêcher, qui sait ? Que pouvait-il se dire d'autres ? Certes, les mots n'étaient pas forcément nécessaires entre eux, ils se comprenaient sans, mais dans cette situation tout était différent.
« Je sais pas ce qui m’a pris je suis désolé. J’ai perdus le contrôle j’ai dérapé. Je… Laisse tomber. Je sais que c’est lui que tu veux maintenant de toute manière. Je ne peux plus rien y faire… »
Oui il avait perdu le contrôle, mais elle aussi. C'était ça qui la troublait le plus, son manque de contrôle à elle. En général, elle réfléchissait avec son cerveau et l'écoutait quand il lui disait quelque chose, et là, non. Lui ? Parlait-il de Benji ? Oh, mais comment pouvait-il en être aussi sure, alors qu'elle même ne savait pas ce qu'elle voulait et ce qu'elle pensait être le mieux ? Pourquoi ne pouvait-il plus rien faire ? Il était son premier amour, et on ne l'oublie jamais réellement celui-là. Certes, les choses n'étaient pas faciles, mais elles ne l'étaient jamais. Oh Cassandre, tu viens de lui faire encore plus mal en baissant les bras de cette manière.
Comment peux-tu en être si sur ? Je ne sais pas moi-même ce que je veux...
Hi It'sCassandre Azalea
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Sujet: Re: Don't cry and unwrite that song... (Night) Jeu 4 Fév - 9:58
[HJ: Je suis vraiment désolé pour le temps de réponse! Vraiment! J'ai pas jéré sur ce coup la! Encore pardon!] Musique thème: http://www.deezer.com/fr/#music/result/all/switchfoot 1er chanson de la playliste: Your love is a song.
« Comment tu peux en être aussi sur, je ne sais pas moi-même ce que je veux… »
Quelques mot simples, efficace, qui prouvait bien son honnêteté, ce qu’elle ressentait. Il venait de l’embrasser, merde, et ne savait même pas ou lui-même en était. Il était bien con des fois. Il faisait des trucs non mais sans réfléchir. Son meilleure ami était amoureux de cette fille, lui était avec Enzelta, ou le pensait, et Night, avait le cul entre deux chaises. Il ne l’aidait pas du tous la. Mais franchement, comment il pouvait oser faire ça? On pouvait pas être plus con que lui franchement. Il jouait a quoi la? Il n’était plus un gamin. Il n’avait plus quinze ans. C’était fini ça, l’âge ou il pouvait encore jouer avec les sentiments, jouer de sa gueule d’ange. Il savait que cette fille avait encore de fort sentiments pour lui. Mais lui, il en était ou? Il avait devant lui le choix le plus complexe a faire. L’ange ou le démon. La bleu, ou la verte. La fougue d’Enzelta, ou la sagesse de Night. Il ferma les yeux, et vit le doux visage de celle qu’il avait embrassé peu avant… Enzelta de Rocan. Cette belle blonde au cœur si purs… Mais ne pouvait oublier l’odeur du doux parfum de Night, le contacte de sa peau blanche et si chaude.
Son amour était une douce symphonie. Son rythme changeait constamment. Une longue histoire dont lui-même ne connaissait pas la fin. Son cœur restait un mystère pour lui-même. Il caressait la joue de la brune, mais des qu’il relâchait le contacte c’était la blonde qu’il voyait. Et des qu’il le reprenait, plus rien ne comptait, sauf elle, Night. Jamais il ne pourrais comprendre le sentiment d’aimer. C’était bien trop compliqué pour lui. Toute ses questions a la con qui s’entrechoquaient dans sa tête. Il ne comprenait même pas pourquoi, lui qui, a son habitude si simple pouvait ce poser autant de questions a la fois. Pour lui tous ça c’était nouveaux.
Il se recala contre le mur, fuyant son regard et s’alluma une cigarette. C’était quoi son problème? Oui il en avait bien un pour le coup, mais lequel? Son amour était une chanson. Car comme toute les chanson, il y avait un début, et une fin. La fin. Celle de son histoire avec Night. Le début, celle avec Enzelta. Voila la réponse a toutes ses questions. C’était pourtant pas si compliqué. Mais alors, pourquoi il avait l’impression que son cœur se brisait a chaque fois qu’il pensait a elle? La fille aux cheveux couleur de la nuit? Pourquoi des que Benji lui parlait d’elle il sentait son muscle cardiaque ce contracter tellement fort qu’il suffoquait? Pourquoi seule la présence de la fille blonde pouvait lui faire oublier la brune? Ca faisait mal. Bien trop mal. Il posa sa tête sur l’épaule de Night, encore un contacte qui lui fit beaucoup de bien…
Il ne parla pas, se contentant de fumer sa clope, juste la. Lui, elle. Rien d’autre pour une fois. Aucun problème. Faisant le vide en lui. Il avait l’impression de se reposer sur l’épaule de Tonia, ou peut celle de Vety, ou celle de Benji. L’épaule d’un ami. Voila ce qu’il lui manquait. Peut être qu’il tenait encore a elle, car sa présence lui manquait c’était certain, mais pourquoi pas un manque amical? C’était peut être ça sa réponse. Elle lui manquait, mais pas comme il le pensait. C’était vraiment possible d’être aussi compliqué? Ca lui faisait mal a la tête vraiment. Il avait besoin de renouveau, de quelques choses de neuf, et de l’amitié de night. C’était aussi simple que ça. Rien de plus compliqué. Arrêter de ce prendre la tête, lui prendre la main, oublier, tourner la page et passer a autre choses. Ca paraissait si simple enfaite. Bien trop simple pour que ce sois vrai. Les histoire d’amour, ce n’était jamais si simple… Abandonner si facilement. Ca ne lui ressemblait pas. Il la voulait oui ou merde?
Sa main lui caressait les cheveux, il ne s’en rendait même pas compte. C’était un geste presque naturel pour lui vus qu’il avait fait cela durant huit mois. Il se rappelait de vieux souvenir. Il n’avait plus qu’a s’imaginer sous un arbre. Elle un livre a la main, perdue dans son monde imaginaire, lui, deux écouteurs dans les oreilles, lisant une revus sur le ski, la montagne. C’était les moment qu’ils passaient ensemble. Tous les deux, tranquille. Voila ce qu’il faisait quand ils ne parlaient pas de voyage, d’avenir. Des projets d’avenirs, oui ils avaient eu. Ils c’étaient imaginés dans un petit chalet a la montagne. Elle a ses côté. Ils avaient parlées de voyage, la Nouvelle-Zélande, le Canada, l’Afrique. Ils avaient parlés de faire le tour du monde. Tous ces rêves qui n’avaient plus aucuns intérêt sans doute. Il savait que dans les bras d’Enzelta il ne pourrait rêver comme il l’avait fait avec Night. Mais c’était surement trop tard. Tous ses petits délires qui lui revenait en tête. Car cette position, tous les deux perdus dans leurs pensés, la tête de l’un reposant sur l’épaule de l’autre, c’était la position qu’ils prenaient a chaque fois qu’il se disputait. Et qu’ils se réconciliés après avoir longtemps crier ou pleurer pour Night. Mais pour le coup, il savait qu’aujourd’hui cela ne voulait plus dire la même choses. C’était différent. Car plus rien ne serais plus jamais comme avant. Aujourd’hui la discutions allait prendre une toute autre tournure c’était certain. C’était la fin de leurs histoire. Les derniers baisées, un dernier adieux, une dernière dispute peut être. Un moment qu’il voulait partager et profiter. Car tous ça lui manquerait. Mais parfois, revivre les souvenirs était la meilleure choses a faire pour récrire une nouvelle histoire… Et c’est-ce qui allait ce passer…
« Night, si on passait a autre choses toi et moi? On est plus fort que ça. Je veux dire, tu me manque, je t’aime toujours, ça c’est sur, mais si on s’offrait un dernier moment ensemble, un truc genre inoubliable, et qu’on tournait la page après ça. Si on s’offrait un dernier au revoir. Et ensuite, on repart chacun de notre côté, mais avec un autre sentiment. Celui de deux potes. Je pense que c’est la seule solution pour qu’on se rende vraiment compte de savoir ce qu’on le veux tous le deux. Si l’on veut être des potes, ou si on veut se remettre ensemble. T’en pense quoi? »
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Sujet: Re: Don't cry and unwrite that song... (Night) Dim 7 Mar - 16:25
« Night, si on passait a autre choses toi et moi? On est plus fort que ça. Je veux dire, tu me manque, je t’aime toujours, ça c’est sur, mais si on s’offrait un dernier moment ensemble, un truc genre inoubliable, et qu’on tournait la page après ça. Si on s’offrait un dernier au revoir. Et ensuite, on repart chacun de notre côté, mais avec un autre sentiment. Celui de deux potes. Je pense que c’est la seule solution pour qu’on se rende vraiment compte de savoir ce qu’on le veux tous le deux. Si l’on veut être des potes, ou si on veut se remettre ensemble. T’en pense quoi? »
Passer à autre chose. Oui, c'était sans doute ce qui leur restait de mieux à faire. Mais cette phrase lui déchirait le coeur. Étaient-ils prêts ? Était-elle prête ? Et où était la logique dans tout ça ? Il y a quelques minutes, il l'avait embrassé, et maintenant, il lui disait ça... C'était raisonnable, oui, mais c'était aussi illogique vis-à-vis de son comportement passé. Elle lui manquait bel et bien alors... Cet aveux la fit frissonner. Elle ne s'y était pas du tout attendu, et encore moins au " je t'aime " qui avait suivit. Cela faisait tellement longtemps qu’elle ne l’avait pas entendu dire ses mots si doux et si tendre, qui voulais dire tellement… Cela lui avait rappelé la belle époque, tout leurs moments passés ensemble. À présent, elle était nostalgique, mais comment ne pas l’être lorsqu’on a vécu huit mois de pur bonheur ? C’était quasi impossible. Mais ces mots lui avait également fait horriblement mal. Elle savait qu’il fallait passer à autre chose, c’était la meilleure chose à faire, pour tout les deux, mais au fond d’elle, quelque chose la retenait encore. Une sorte de lien, ou quelque chose qui y ressemblait du moins. C’était fort, très fort, comme si ce lien, ne voulait pas le laisser partir. Mais après tout, lorsqu’on aime, ne sommes nous pas obligé, un jour ou l’autre, de laisser partir l’autre ? Aimer, c’est aussi ça… Et même si la tâche est difficile, bien trop difficile par moment, il fallait le faire, et être capable de laisser l’autre partir, c’était aussi une belle preuve d’amour. Alors oui, elle le ferrait si c’était la meilleure chose à faire, ce dont elle était persuadée au fond d’elle, et cette chose qui la retenait allait devoir en subir les conséquences, sans avoir son mot à dire. S’offrir un dernier moment ensemble ? Une sorte d’adieu ? Était-ce réellement une bonne chose ? Les adieux n’en serraient pas plus difficile après cela ? En avait-elle seulement la force ? À ses yeux, elle avait l’impression que c’était la mer à boire. Jamais elle n’aurait la force de passer un moment, peut être une après midi, peut être une journée entière, elle ne savait pas très bien, avec lui, et qu’après cette journée, tout serrait fini. Peut-être valait-il mieux en rester là et faire comme pour un pansement, l’enlever d’un coup pour avoir moins mal ? Après tout, cela serait peut être la solution à tout leurs problèmes. Quelque chose les empêchait encore de se laisser partir l’un l’autre. Il est vrai que la solution qu’avait proposé Cassandre n’était pas à négliger, mais tout de même, elle ne se sentait pas capable d’une telle chose. Il n’avait pas tord lorsqu’il disait qu’ils ne savaient pas ce qu’ils voulaient, en tout cas elle, elle ne le savait pas. Elle était toujours partagée entre lui et Benji, et la tâche n’en était que plus difficile car les deux garçons étaient meilleurs amis. Night se maudit elle-même, de s’être mise dans pareille situation. Comment avait-elle fait hein ? Telle était la question…
Cass’ tu sais, je t’aime encore moi aussi, et je t’aimerais probablement toujours, je veux dire, au fond de moi, il y aura toujours cette petite étincelle qui brulera pour toi, mais je ne pense pas que s’accorder un moment ensemble nous ferra du bien. Je veux dire que je n’en aurais pas la force, les adieux n’en seront que plus durs après, et je ne veux plus qu’on souffre, ni toi ni moi. Je me suis rendue compte que lorsqu’on aime quelqu’un, il faut apprendre à le laisser partir s’il en a envie, et c’est peut être ce qu’on devrait faire. Je ne t’oublierais jamais, mais tu as raison, il faut tourner la page. Je suis sure qu’on peut tout de même être de bons amis, mais il nous faudra un peu de temps je pense, histoire d’être sur et certain qu’on ai tourné la page, tu vois ce que je veux dire ? Ce genre de situation c’est pas toujours facile, mais j’ai compris qu’il y avait un moment où il fallait réellement le vouloir, et c’est un énorme travail sur soi-même, mais on peut le faire, j’en suis sure.
Elle avait enfin dit tout ce qu’elle avait sur le cœur, et cela lui avait fait le plus grand bien. Elle se sentait soulagée, presque libre d’un poids en fait. Bizarre, n’est-ce pas ? Night s’était enfin rendue compte, en entendant les propos de Cassandre qu’elle s’était toujours accroché à lui, à cet espoir qu’un jour, tout les deux seraient à nouveau ensemble. Mais après tout, on ne peut pas attendre toute sa vie en espérant. Il fallait qu’ils tournent la page, et s’ils n’y arrivaient pas, ni l’un ni l’autre, c’était que peut être, cet espoir se réaliserait. Night secoua légèrement la tête, comme pour chasser cette pensée. Il ne fallait pas trop se projeter dans l’avenir, elle l’avait compris. Maintenant, il ne leur restait plus qu’à attendre et à avoir si leur volonté ou leur cœur était plus fort. Bien sur, Nightingale savait qu’elle ne réussirait pas à l’oublier en deux temps trois mouvements, mais elle y arriverait, car elle savait que Benji serait là, et Virgil aussi, son grand frère. Benji lui redonnerait le sourire en parlant de livres, il la ferrait rire simplement, comme il était capable de le faire. Ce jeune garçon la chamboulait au plus haut point, et elle avait toujours un peu de mal à comprendre pourquoi. Oui, il incarnait certes son prince charmant, celui en lequel elle avait toujours cru étant petite, il était peut être sa chaussure, comme le dit le proverbe Moldus « chacun trouve chaussure à son pied ». Seul l’avenir le lui dira.
Night regarda Cassandre dans les yeux, ses yeux qui lui avait toujours fait se sentir en sécurité, ses yeux si magnifiques et profonds, puis elle s'approcha délicatement de lui, et l'embrassa d'un baiser tendre et doux à la fois, comme pour sceller cet accord, même s'il n'avait pas encore répondu. Elle ne savait pas réellement ce qui l'avait pousser à faire ça, mais elle sentit que c'était peut être sa façon à elle de lui dire au revoir, simplement.
[ Hors RP : désolée pour le temps de réponse :/ Plus d'un moi en fait :s je sais pas si le Rp te plairas ou pas ]
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