Solemny Swear
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 On attaque pas les Maraudeuses comme ça

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Hi It'sAspen Withmore

Aspen ▬ On a toujours le cœur à se battre
Aspen Withmore

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On attaque pas les Maraudeuses comme ça Vide
MessageSujet: On attaque pas les Maraudeuses comme ça   On attaque pas les Maraudeuses comme ça EmptyMer 17 Fév - 22:34

Réunion au sommet
intrigue des Maraudeuses



    On attaque pas les Maraudeuses comme ça Emma810 On attaque pas les Maraudeuses comme ça 643pzn On attaque pas les Maraudeuses comme ça Zooey11 On attaque pas les Maraudeuses comme ça Kateb8_sjlnechnaia On attaque pas les Maraudeuses comme ça 973665iconshannynsossamonb



    Comment osaient-ils. Eux, ces Inquisiteurs de malheur osaient décréter des choses plus stupides les unes que les autres. Et par dessus le marché, ils recrutaient dans les différentes maisons afin d'assouvir leur petite vengeance personnelle. Ils recherchaient des informations sur les Maraudeuses, et puis quoi encore ! Autant dire qu'Aspen prenait ça comme une insulte personnelle et qu'elle était bien décidée à mettre tout en œuvre pour montrer qui était le chef à Poudlard. Et foi d'Aspen ça allait péter et faire mal.

    C'est pourquoi la brune se trouvait dans la salle d'Histoire de la magie, une salle poussiéreuse où les cours étaient les plus ennuyeux du monde. Personne n'y mettait les pieds si il n'y était pas obligé, aussi c'était une merveilleuse cachette pour mettre son plan à exécution. Aspen posa son sac sur la table. Le choc produisit un bruit sourd de ferraille heurtant une surface dure. La Maraudeuse entreprit ensuite de fouiller dans ce meli melo d'objets qui allaient l'aider à assouvir sa vengeance.

    Elle extirpa enfin l'objet de ses désirs du sac en tissus marron et le posa sur la table. Elle attrapa ensuite sa baguette au bout de laquelle luisait une lueur qui éclairait la salle et la pointa vers l'objet en question. C'était une boite, tout ce qu'il y a de plus banal. Mais à l'intérieur se trouvait une poudre, une poudre achetée il y a quelques temps dans une boutiques de farces et attrapes connue dont le nom avait était oublié par la brune. Aspen entreprit donc d'ouvrir la boîte et de sortir le petit sachet qui contenait la poudre. Elle le posa doucement sur la table et se remit à fouiller dans son sac.

    Elle sortit un seconde objet du bout de tissus. Cette fois ci c'était un ensemble de petits cylindres qui ressemblaient à des fusées. Chacun des cylindres possédait un trou par lequel on pouvait introduire du liquide ... ou de la poudre. Aspen posa l'objet à côté du sachet de poudre et replongea une troisième et dernière fois dans le sac. Elle mit plus de temps à trouver ce qu'elle cherchait car l'objet en question était très fin et très petit. Lorsqu'elle réussit enfin à le sortir, elle le posa à côté du reste. C'était un petit tube, pas plus haut qu'un fil de fer mais plus épais, qui allait lui permettre de donner à cette poudre des effets très ... amusants.

    La Maraudeuse jeta son sac à terre ce qui eut pour effet de produire un nouveau bruit de ferraille. Elle s'attela ensuite à la préparation de son arme anti-inquisition. La brune attrapa un des cylindre et commença à le remplir de poudre. Elle répéta cette opération plusieurs fois, jusqu'à ce que sa poudre soit entièrement utilisée. Tout ceci lui faisait 18 cylindres. C'était largement suffisant. Elle passa sa mains dans ses cheveux et se prépara à la phase la plus importante. Elle attrapa la petit tube entre deux de ses doigts et pointa sa baguette dessus.

    A la lumière, des inscriptions apparaissaient très nettement. Tout d'abord le nom du produit en question et ensuite, la formule pour que ce dernier fonctionne bien. Aspen déboucha le tube. De la fumée rose et argentée sortit du minuscule tube et une forte odeur de fleurs envahit la salle. Aspen attrapa un à un ses cylindres et mit deux gouttes du produit miracle dans ces derniers. A chaque fois, un grésillement satisfaisant s'échappait des orifices de l'objet en métal. Cette tâche accomplie, elle reboucha le tube qu'elle rangea dans la poche de son uniforme. Puis elle attendit, l'heure de la revanche approchant à grand pas.


Dernière édition par Aspen Withmore le Ven 9 Avr - 22:40, édité 6 fois
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Hi It'sInvité

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MessageSujet: Re: On attaque pas les Maraudeuses comme ça   On attaque pas les Maraudeuses comme ça EmptyLun 22 Fév - 1:38

[ C'est le sujet des maraudeuse non? :$ ]



    « Maraudeuse un jour, maraudeuse toujours! »

    Encore une douce nuit qui tombe sur Poudlard. Douce peut-être oui, mais surement pas des plus calmes! En effet, d’un commun accord, les maraudeuses avaient jugé utile de se réunir au plus vite. Mais avant de passer à l’action, elles devaient toutes s’abstenir d’éveiller les soupçons ! C’est pourquoi, 30 minutes avant le couvre feux, Yume lisait sagement sur son lit. Du moins, en apparence. Son cerveau turbinait à plein régime. Les nouvelles déclarations de l’Inquisition contre les maraudeuses occupaient ses pensées nuits et jours. Se concentrer en cours devenait de plus en plus dur. Mais Yume pouvait s’estimer heureuse, à l’instar d’Elixir, elle avait quelqu’un a qui parler de son secret le jour, sans avoir à se cacher. Le fait que nous partagions une solide amitié visible aux yeux de tous aidait un peu le processus ! Mais Yume imaginait fort bien Aspen, une idée lumineuse en tête, devoir attendre nos réunions nocturnes pour en parler. Quelle torture !

    Même si Yume bénéficiait de la complicité d’Elixir, il n’était pas aisé de parler de leur secret en « public », toutes deux prenaient d’immenses précautions. A vrai dire, lorsqu’elles avaient le cœur gros, les deux jeunes filles s’exilaient loin du château, parfois même allaient se ressourcer à Londres, au beau milieu des Moldus. Là-bas, aucun risque d’être surprise en pleine conversation par un élève un brin curieux ou ces malheureux de l’Inquisition ! Miss Kurumi avait de nombreuses fois imaginé la tête que ferait sa « si grande » tripoté d’ami(e)s lorsqu’ils auraient apprit que la gentille petite Yume n’était pas si blanche qu’ils semblaient tous le croire. Tout le monde à un secret, certain sont juste plus évidents à découvrir que d’autre !

    Les nerfs en pelote, notre chinoise (pas si chinoise que cela) nationale feignait d’avoir l’air naturelle son livre à la main. Tournant distraitement les pages sans réellement les lire, elle fixait frénétiquement son réveil. L’heure approche. D’un coup d’œil circulaire, elle considéra les autres jeunes Gryffondors de la chambre. Quatre en tout. Tout au fond de la chambre, dans le coin le plus isolé, elle aurait fort bien imaginé Elixir sagement allongée sur son lit, les paupières closent, sa tête dodelinait légèrement au rythme des musiques qui sortaient de ses écouteurs. Dommage qu’elle ne soit pas dans la même maison ! Bon bon bon… - soupira-t-elle impatiente. Sa prière intérieure fût exaucée. La grande lumière s’éteignit pour n’éclairer la chambre que par les veilleuses posées sur nos tables de chevets. Elles s’éteindraient très prochainement, vive la magie ! Yume s’engouffra s’en plus tarder sous sa couette, et vit une autre jeune fille en faire de même malgré la pénombre. On avait beau être en hiver, la jeune gryffonne étouffait sous son épais édredon, et pour cause, sous sa longue chemise de nuit, elle portait ses vêtements de « maraudeuse ». En attendant d’ôter son pyjama, elle devrait prendre son mal en patience et suer comme une folle sous sa couette. Les minutes qui suivaient le premier avertissement du couvre feux semblaient s’écouler avec une lenteur infinie. Les autres filles ne se pressaient pas le moins du monde. Et enfin, une fois toutes les Gryffondors couchées, les veilleuses s’éteignirent. Par chance, leurs camarades de chambres étaient de vraies marmottes aux journées bien remplies, elles s’endormaient bien vite. Elixir et Yume n’auraient donc pas à attendre trop longtemps. Mais attendre avait toujours été insupportable à Yume. A fortiori lorsqu’il s’agissait d’une réunion des plus importantes ! Dommage également qu’elle n’avait jamais apprit de sort pour se téléporter. Ce serait tellement plus simple de se téléporter directement dans les souterrains et suivre le chemin qu’il avait fallut mémoriser malgré un sens de l’orientation des plus déplorables. Mais non, il fallait se faire la plus discrète possible, échapper à la surveillance des professeurs et de tous le corps surveillant. Selon Yume, un véritable parcours du combattant, qu’elle effectuait néanmoins avec un grand plaisir. Jouer à l’agent secret l’avait toujours profondément amusé !

    Dix minutes qui semblent une éternité pour Yume plus tard, la jeune fille peut entendre très distinctement le souffle régulier de ses trois comparses, elle arrive même à discerner leur cage thoracique qui s’élève au rythme régulier de leur respiration. Avec tout de même d’infinies précautions, la Gryffondor s’extirpe de son lit en repoussant l’énorme édredon qui l’entravait. Il fait déjà meilleur – songeât-elle en posant un pied, puis l’autre, sur le vieux parquet de leur chambre. Seules deux lattes ne grinçaient pas trop. Restait à tomber dessus du premier coup ! Avec le temps et l’expérience, Yume y arrivait les yeux fermés. Mais, dans un sens, les paupières closes, ou non, il faisait toujours noir ! Rapidement, elle porta ses mains aux boutons du col de sa chemise de nuit et entreprit de la déboutonner. Son vêtement servirait à dissimuler son absence, elle le glissa savamment sous sa couette de façon a lui donne rune forme a peu près humaine. Si ses camarades de chambres s’éveillaient en pleine nuit, elles n’y verraient que du feu ! Presque nerveuse, comme toujours avec ce qu’on appelle l’adrénaline, elle replaça une mèche blonde derrière son oreille. Les cheveux tirés en arrière pour former un chignon de danseuse avec juste une mèche sur le devant, Yume était comme libre de ses mouvement, sans sa tignasse électrique pour la gênait. Pour ce qui était de sa tenue de « maraudeuse », un pantalon en cuir noir (ben quoi ?) de façon a se fondre dans l’obscurité, de la même couleur que son tee-shirt manche trois quart en coton, une petite veste de la même matière que son bas s’il fallait qu’elles sortent, afin de ne pas prendre froid et de ne pas éveiller les soupçons. Comment ça un rhum ? Tu n’es pourtant pas sortie hier ? Yume imaginait fort bien la suite ! Ballerines noires de danseuses aux pieds (qui ne sait pas que Yume évolue dans la danse classique depuis son plus jeune âge ?), la jeune fille se dirige sur la pointe (c’est le cas de le dire) de ses chaussons vers la porte donnant sur le couloir. Elles avaient établie la règle suivante : aucun mot, aucun bruit, un regard suffit ! Yume avec mile précautions se faufilât hors de la chambre direction les souterrains. D’un coup d’œil, elles s’aperçurent et se mirent en route. La nuit s’annonçait bien mouvementée


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Hi It'sElixir Abersmith


Elixir Abersmith

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MessageSujet: Re: On attaque pas les Maraudeuses comme ça   On attaque pas les Maraudeuses comme ça EmptyMar 23 Fév - 13:54

Toute vie qui ne se voue pas à un but déterminé est une erreur.

    Une journée plus que stressante s’achevait, je me trouvais dans la salle commune de ma maison, je préparais ma sortie du soir, je devais rejoindre Yume au détour d’un couloir puis aller voir les autres maraudeuses. Ces sorties avaient le don de me mettre dans tout mes états, j’avais prévu quelques sorts utiles pour ma sortie. J’étais assise sur le renfoncement, contre la fenêtre, je pouvais voir le par et les élèves qui étaient encore dehors, le gardien, un Rusard, la lignée avait toujours servie a Poudlard. Je regardais le contrebas avec un petit sourire, non pas parce qu’il y avait quelque chose de drôle mais que je trouvais ça drôle de sortir sans me faire repérer. L’inquisition semblait décider à se venger des petites maraudeuses, mais pour l’instant je me savais en sécurité, pour tout le monde je n’étais qu’une gentille fille un peu niaise, et je savais que les autres étaient assez intelligentes pour se cacher. Je leur faisais confiance et de toute façon, ils pensent tous que nous sommes des hommes, personne n’a encore décider de quelle maison est le gang qui sème le bazar a Poudlard, mais il est d’opinion publique que nous sommes des hommes, j’espère bien que non. Je suis sure d’être une fille, et les autres ne font pas très masculines, je m’amuse à voir tout les potins qui courent sur nous, sans qu’un seul soit assez crédible. Je soupire. Belzébuth se glisse sur mes jambes, je suis assise en tailleur, il se couche sur moi et ronronne, c’est son signal pour me dire caresse moi, je m’exécute, il ronronne, cette fois de contentement. Il tourne la tête vers moi, il y a des fois j’ai l’impression qu’il comprend, qu’il me comprend, voila pourquoi j’aime me confier à lui. Je lui gratte le dessous du cou, il adore, monsieur étire ses pattes, il sort ses griffes, il veut gratter quelque chose pour se faire les griffes, je lance un sortilège d’attraction et son jouet en matière spéciale arrive, j’ai été élevée par des moldus, mon chat est comme tout les chats moldus, son jouet est une souris sur lequel il peut s’amuser, il griffe, sa matière lui permet de bien résister face aux attaques incessantes de mon petit félin. Il se jette sur la souris, délaissant mes genoux, je soupire, il en faut peu pour que monsieur se détourne de moi. Même mon chat ne semble pas intéressé par moi, comme certains… Ou plutôt certain, il n’y en a qu’un, j’aimerais qu’il s’intéresse mais je suis la bonne amie. Cassandre est de passage dans la salle commune, il m’adresse un sourire, je lui fais signe. Je suis sure qu’il va rejoindre sa petite amie, j’ai un sourire amusé, il faut avouer que pour moi c’était un couple plutôt improbable, mais ils vont bien ensemble, elle a Serpentard, préfète qui plus est de cette maison, Enzelta, je dois avouer que cette fille me sortait par les yeux au départ seulement, car finalement je la trouve sympa. Même si je lui en veux encore un peu pour les 20 points qu’elle m’a enlevé. Belzébuth a fini et me regarde, il veut sortir ou manger. Quel glouton ce chat. Je me lève, a contre cœur, j’étais bien contre la fenêtre, à regarder le parc et le lac.

    Il est heureux et remue la queue, je descends les escaliers qui nous mène aux dortoirs, je rentre dans le mien, deux de mes colocataires sont là, en train de discuter sur le lit de l’une d’entre elle, je leur fais un petit sourire, elle me le rende, mon chat lui a déjà filé vers mon lit, il grimpe en un saut et se couche au milieu, il semblerait que le droit de m’asseoir sur mon propre lit soit interdit pour le moment, décret de sa majesté le chat Belzébuth. Je lui dis sur un ton calme que si il ne descend pas de là, je ne lui laisserais pas manger, il lève la tête, se lève, il est debout sur mon lit et me regarde comme si il attendait que je le serve, je lui ordonne de descendre avec un signe vers le sol, il descend. Je lui remets a manger dans sa gamelle et m’assoit sur mon lit. Une fois que ce glouton a fini, il s’allonge a coté de moi, sur le lit, il émet un grognement qui se traduit en un miaulement, pour me montrer qu’il n’apprécie pas que je prenne autant de place. Comme je ne bouge pas, il décide de s’allonger sur moi, une fois de plus. J’attrape le livre de sorts, et le feuillette avec intérêt. Il va être temps de dormir, Belzébuth lui dort depuis un moment, il lui en faut peu pour s’endormir, je le caresse avec affection, puis décide de me mettre en pyjama. Une fois fin prête à me mettre au lit, je fais une queue de cheval haute. Les deux autres filles de mon dortoir arrivent alors que je me coiffe, nous nous glissons sous les couvertures, et comme habituellement discutons de tout et de rien avant de dormir. Le sujet de ce soir, qui sont les personnes du groupe qui crée le bazar la nuit, une émet l’hypothèse des hommes, toutes acquiescent, je pouffe discrètement, décidément il ne me manque plus que la moustache. Après une autre dit que ce doit être des Poufsouffles, pour elle, il n’y a rien de mieux que notre maison logique, elle propose plusieurs noms masculins de personnes de Poufsouffle. Je regarde l’heure, il es temps, le couvre feu vient d’être annoncé, plus personne ne peux sortir de sa salle commune, sous peine de représailles, j’entends par là, retenues, ou travaux d’intérêt. Les filles semblent parties, elles papotent, une pense que ce sont des Serdaigles pour leurs connaissances. J’écoute distraitement, heureusement que nous nous donnons rendez vous assez tard car personne ne dort jamais tout de suite à Poudlard, nous avons rendez vous dans une heure, mais je veux les faire dormir plus tôt, il me faut le temps de me changer je ne veux pas me balader en pyjama dans les couloirs, surtout que les préfets risquent de me croiser. Un quart d’heure passe, j’ai pris part à leur dispute, je leur dis que pour moi c’est tout aussi probable que ce soit des filles, elles ne sont pas d’accord, pour elles il faut être très courageux. Et une fille n’a pas assez de cran. J’ai un léger sourire et me range de leurs côtés avec un: Vous avez sûrement raison, je suis crevée, on dort? Elles acquiescent, et éteignent les lampes. Au bout de peu de temps, je peux me lever, pour une fois elles ont été rapides, je suis en avance, j’attrape baguette, et marmonne Lumos, ma baguette s’éclaire et produit une légère lumière qui me permet de voir ce que je fais. J’attrape ma robe habituelle, celle que j’ai porté aujourd’hui, après je m’occuperais de la mettre a laver. Je l’enfile en vitesse, je détache mes cheveux,mon chat s’est réveillé, il veux venir, je l’emmène parfois, mais que avec Yume ou Cassou’ mais là je pense qu’il faudra faire vite et si il décide de faire sa mauvaise tête, il pourrait me faire repérer car un chat comme ça, tout le monde n’en a pas a Poudlard, ça élimine des gens sur la liste des suspects. Je remonte en salle commune, il me suit, je le sermonne en lui disant de ne pas venir, vexé il repart dans le dortoir. Je sors pas le tableau. Tout les autres tableaux du couloir sont endormis, la lumière de ma baguette ne peux pas les déranger. Je marche précautionneusement, les couloirs sont faiblement éclairés, je chuchote

    - « Nox »

    Ma baguette s’éteint, j’ai un sourire, la magie a vraiment changée ma vie, maintenant je veux découvrir qui sont vraiment mes parents, je sais qu’ils étaient tout deux sorciers c’est tout, j’ai commencé des recherches mais personne ne le sait, même pas Yume. J’arrive, Yume aussi, nous sommes synchronisés, je lui fais un sourire, et nous continuons, elle est vêtue de son équipement de danseuse, ses ballerines, une tenue typiquement moldue, elle ne doit pas aimer mettre les vêtements obligatoires de Poudlard, le seul endroit ou nous sommes autorisés à nous vêtir de la sorte, c’est en dehors, mais vu que nous transgressons déjà le règlement, ça ne doit pas la déranger d’en rajouter une couche. Son chignon lui donne une image un peu stricte je trouve, elle fait trop sérieuse alors que moi mes cheveux retombent lamentablement sans ordre. Je dénigre mon apparence, ce n’est pas bien grave. On sent qu’elle a fait de la danse, elle se tient bien, gracieuse a chaque pas, alors que moi à côté, je fais éléphant, nous arrivons dans la salle du première étage, Yume a du descendre tout les étages, et moi les monter mais bref, nous sommes devant la porte, je l’ouvre et trouve Aspen de dos. J’ai un sourire, il semblerait qu’elle est encore une idée en tête.

    - " Nous voila "

    Je m’approche d’elle pour mieux voir l’objet ou plutôt les objets qu’elle a installé, ça a l’air très ingénieux. Je suis toujours étonnée de ses idées farfelues mais très efficaces.
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Hi It'sBerlioz Lothringen


Berlioz Lothringen

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MessageSujet: Re: On attaque pas les Maraudeuses comme ça   On attaque pas les Maraudeuses comme ça EmptySam 6 Mar - 16:48

    Berlioz ne parvenait pas à se détendre ces derniers temps. Elle était toujours soucieuse, ses pensées accaparées par divers soucis. Même en présence des Maraudeuses, elle restait sur le qui vive, craignant un je ne sais quoi. Bee se demandait parfois s'il n'aurait pas été plus sage de se poser quelques instants au calme pour réfléchir à l'avenir. L'Inquisition recrutait plus d'élèves chaque jour, leur laissant miroiter monts et merveilles pour les inciter à les tuyauter. Le rêve des Inquisiteurs : découvrir leurs identités à toutes les cinq pour ensuite les mettre au pas. Lioz avait beaucoup douté de la réalité de ce projet, sûre qu'Ombrage ne se confronterait qu'à des non catégoriques des élèves mais rien ne semblait se passer comme elle l'avait prévu. Les élèves, au lieu de refuser acceptaient. Et, il était impossible de déterminer quelle maison pactisait avec l'ennemi ou non car les "traitres" se trouvaient partout. Berlioz avait entendu certains élèves en parler alors qu'elle n'aurait jamais pu les imaginer dans le camp de l'Inquisition. Un élément lui donnait cependant du courage pour continuer à agir dans l'Ombre : la Rebellion. Certains élèves semblaient prêts à tenter le tout pour le tout pour mettre à sac Poudlard, détournant ainsi les soupçons pendant quelque temps du moins. Quoiqu’il en soit, si les Maraudeuses voulaient poursuivre leur plan, elles avaient plutôt intérêt à se montrer vigilantes. Aspen et Apple étaient sans doute les plus à l'abri, surtout Aspen. Etre préfète pouvait présenter de nombreux avantages dont principalement celui de couvrir d'éventuelles errances nocturnes. Bee avait trouvé son propre moyen de protection pour que leur vigilant préfet ne proteste pas face à ses vagabondages nocturnes. Cela avait un avantage certain.

    Bee sourit tout en revenant doucement à la réalité. Elle attendait patiemment le moment où le préfet donnerait l'ordre à tout le monde de monter au dortoir. Elle fixa de longs instants leur panda national. Il avait un paquet de bonbons sur ses genoux et Lioz saisit sa baguette et prononça à voix basse une formule pour faire léviter le paquet de sucreries jusqu'à elle. Elle en saisit une poignée avant de le renvoyer à son destinataire. Elle grignota lentement, le regard perdu dans les flammes du feu. La jeune femme adorait se chauffer, profiter de la douceur d'une flamme. Elle reprit le livre qu'elle avait reposé sur ses genoux. Elle reprit sa lecture là où elle l'avait laissée avant que son esprit ne s'évade de l'espace de ces 4 murs. Un autre quart d'heure était passé quand elle referma son livre. Le temps commençait à lui sembler long. Elle soupira longuement et jetant un coup d'œil à sa montre. Elle griffonna des formules et divers dessins humoristiques sur un morceau de parchemin. Enfin, la voix de Law se fit entendre et les élèves se dirigèrent vers leur dortoir. Bee prit le temps de ranger ses vêtements et se dirigea en dernière vers l'escalier. L l'appela l'air mécontent mais lui fit signe qu'elle pouvait partir. Lioz en profita pour s'éclipser discrètement. Les autres filles croiraient qu'elle s'était faite passer un savon et s'endormirait croyant qu'elle était en train de se faire enguirlander, l'oubliant très vite comme un brave petit fantôme. Il faudrait juste qu'elle trouve une rumeur à rapporter au panda.

    Lioz erra longuement dans Poudlard, sans but précis. Elle savait que les Maraudeuses avaient prévu de se retrouver mais le moment de leur rencontre n'était pas encore arrivé. De plus, elle n'avait pas vraiment envie de se retrouver avec les autres. Elle avait besoin d'un peu de solitude. Après tant d'années à errer seule dans les couloirs de Poudlard, elle avait pris goût à être seule. Elle adorait la compagnie de ses amies mais parfois, elle cherchait des moments où elle puisse se retrouver seule avec elle-même. A force d'errer dans les couloirs, Bee finit par avoir mal aux pieds. Cette journée avait été terriblement fatiguante. Elle avait du courir un peu partout et avait cru devenir folle à force de devoir être partout à la fois. Elle finit par trouver un endroit qui lui plut de par son panorama et le confort qu'il offrait. Lio put se poser sur le muret en pierre et laisser son regard se poser sur la nuit noire, tout en restant à l'abri de l'air frais du dehors. La nuit avait quelque chose de magique qui apaisait toutes ses craintes. L'idée qui l'avait effleurée plus tôt lui parut tout à coup incongrue. Il n'était pas question de mettre entre parenthèse les Maraudeuses même si c'était une pause momentanée. Oh ça non, l'autre sorcière ne gagnerait pas sur elles, foi de Berlioz. Il fallait juste trouver un grand coup à frapper. Lio sentit monter en elle la haine et la colère. Ces deux sentiments étaient son moteur dans la lutte contre l'Inquisition. Elle se remémora sa journée et surtout l'incident avec Ombrage.


    *FLASH BACK*

    Fin d'après-midi, dans les couloirs.

    Berlioz se dirigea d'un pas rageur vers sa salle commune. Elle se sentait exaspérée suite à l'incident à la bibliothèque. Elle devait remettre ce stupide travail en Histoire de la Magie. Celui-ci était corsé et Lioz aurait eu besoin d'un simple livre pour mener sa tâche à bien. Mais impossible de négocier avec la bibliothécaire car les ordres d'Ombrage sont sacrés ici. La Serdaigle s'était donc vu contrainte de retourner bredouille jusqu'à sa salle commune pestant intérieurement contre cette satanée sorcière. Des pensées telles que : "Mais quelle sa*o** cette bonne femme...", "Qu'est-ce qu'elle est venue foutre dans notre école avec sa sale gue**e...", "Qu'on l'envoie à Azkaban pour crime contre des élèves studieux...", traversaient l'esprit de la demoiselle quand elle l'aperçut au bout du couloir. Trop tard pour faire demi-tour, Lio continua donc d'avancer, regardant fixement devant elle. Elle allait la dépasser lorsque cette dernière dit de sa voix perfide :


    -Alors Sadoko, on s'est faite remarquer en manquant de respect aux consignes et à la bibliothécaire...

    Berlioz hésita quelques instants avant de répondre à l'autre ogresse :

    -Je voulais juste emprunter un livre...

    -Vous saviez que c'était interdit, considérez-vous comme en retenue avec moi jusqu'à le fin du mois lui avait répondu cette saleté d'Ombrage.

    *FIN DU FLASH BACK*

    Depuis lors, Bee était d'une humeur massacrante. Elle avait failli se calmer et demander aux autres Maraudeuses si une pause ne serait pas judicieuse. Non jamais, elle ne renoncerait à son projet. Elle se leva et avant d'aller rejoindre les autres fit un détour par la bibliothèque où elle emprunta le livre dont elle avait besoin pour son devoir. Elle jeta un sort basique pour que rien ne transparaisse et fila sans demander son reste. Lorsqu'elle arriva, Elixir, Yume et Aspen étaient là mais point d'Apple. Qu'étaient donc en train de fabriquer la verte? Lioz préféra cesser d'y penser car la voir l'angoissait un peu. Sa présence n'ayant toujours pas été remarquée, eh oui notre petit fantôme semblait glisser tel un fantôme plus que marcher, toussota avant de dire :

    -Tu nous expliques ton plan ou on attend Aspen? Quoiqu'il en soit, j'ai une petite idée sur ce que tu fabriques...
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Hi It'sAspen Withmore

Aspen ▬ On a toujours le cœur à se battre
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MessageSujet: Re: On attaque pas les Maraudeuses comme ça   On attaque pas les Maraudeuses comme ça EmptyJeu 18 Mar - 23:40


    On attaque pas les Maraudeuses comme ça Emma810 On attaque pas les Maraudeuses comme ça 643pzn On attaque pas les Maraudeuses comme ça Zooey11 On attaque pas les Maraudeuses comme ça Kateb8_sjlnechnaia On attaque pas les Maraudeuses comme ça 973665iconshannynsossamonb


Le silence commençait à insupporter lourdement la jeune verte et argent qui ne cessait de tourner en rond dans la pièce. Seul le bruit de ses pas sur le sol lui permettait de ne pas sombrer dans une folie profonde. Aspen n'avait vraiment jamais aimé le silence, ni l'ennui. Il fallait toujours qu'elle soit en mouvement, qu'elle bouge, qu'elle soit active. Mais le silence était pire qu'une torture pour elle. Aussi continua-t-elle inlassablement ses va et vient à travers la salle de classe. Les minutes s'écoulaient, lentes et silencieuses, comme si le sablier du temps ralentissait tout d'un coup. La malchance était-elle de mise ces derniers temps ? Elle suivait la jeune brune partout. Cela faisait plus de deux semaines que la chance avait déserté les camps de la belle brune, et cela exaspéré au plus haut point notre Maraudeuse.

Déjà, elle n'avait pas eu de chance dans ses études durant les deux dernières semaines. Il faut dire que son manque de sommeil y jouait beaucoup. La Serpentard n'arrivait plus à suivre en cours, et dans le pire des cas, elle s'endormait carrément sur sa table. Ses activités nocturnes avaient raisons de sa santé et cela faisait bien quelques semaines que la brune n'avait pas pût dormir plus de six heures d'affilées. Ensuite, ses relations amicales s'étaient quelques peu détériorées. Pas avec ses amies proches, bien heureusement. Mais ses camarades de la maison des vert et argent avaient eu le loisir de goûter à sa mauvaise humeur. Elle les avaient envoyés baladé à bout de champ si bien qu'ils avaient finit par se lasser de ses sautes d'humeurs. Et enfin, cette foutue Ombrage qui ne voulait pas leurs laisser une seconde de répit.

Et c'est sans doute cela qui énervait le plus la jolie brune. L'Inquisition se faisait de plus en plus menaçante. Elle recrutait aussi bien officiellement qu'officieusement. De nombreux Serpentard avaient rejoints les troupes d'Ombrage et de Malefoy, Aspen était bien placée pour le savoir. Elle avait d'excellentes sources chez les verts et argent qui lui avait affirmé que de nombreux membres de la maison de Salazar Serpentard s'était alliés à la cause d'Ombrage. En un sens ce n'était pas vraiment surprenant. Non, le pire dans tout ça, c'est que les autres maisons rejoignaient elles aussi les rangs de l'Inquisition. Des Serdaigle, des Pouffsoufles et des Gryffondor. C'était déjà plus étonnant que ces maisons là acceptent de prêter main forte au Ministère. Cela inquiétait au plus haut point Aspen. Elle aurait pût contrer les soupçons des membres de sa maison, mais ceux des autres maisons c’était une autre histoire. Les Maraudeuses allaient donc devoir se montrer beaucoup plus discrète que d’habitudes. Mais cela ne signifiait pas pour autant qu’elles allaient rester les bras croisés à ne rien faire. Elles allaient agir, et fort. Ça allait être rapide et direct. Ombrage allait s’en mordre les doigts d’être venue fouiller comme ça dans les affaires de l’école. S’attaquer aux Maraudeuses, avait-elle perdu l’esprit. Elle n’avait sans doute rien apprit du passé.

Mais la jeune brune fut bientôt coupée de ses pensées et ramenée sur terre lorsque la porte d’entrée de la salle s’ouvrit en grinçant. Elle se retourna lentement, sûre d’elle. Cela ne devait être que les Maraudeuses qui avaient un peu trop de retard à son goût. Mais elle n’allait pas se plaindre, elle cesserait ainsi de rester seule avec le silence. Et Aspen avait vu juste. En face d’elle se tenaient Yume et Elixir. D’ailleurs cette dernière s’était déjà rapprochée de la table où étaient posés les différents instruments du plan d’Aspen. Elle les examina d’un oeil intrigué et Aspen la laissa faire. De toute façon, elle n’eut pas le temps de faire quoi que ce soit qu’une Berlioz à la mine renfrognée toussota avant d’ajouter d’un air mi-joyeux mi-sinistre. « Tu nous expliques ton plan ou on attend Aspen? Quoiqu'il en soit, j'ai une petite idée sur ce que tu fabriques... »

Aspen fut étonné de l’adresse de Berlioz dans le domaine de la discrétion. Aucune des trois filles présentes n’avait remarqué sa présence, aussi elle avait dû se faire remarquer d’une autre manière. Aspen lui adressa un sourire rayonnant avant de se diriger vers une chaise. Elle s’y laissa tomber lourdement et posa son regard sur ses trois Maraudeuses. Chacune avait les yeux rivés sur la verte et argent aussi cette dernière s’éclaircit la gorge avant de commencer. « On va attendre Apple avant de commencer à parler des projets de cette nuit. Par contre, je vais vous dire un petit quelque chose qu’elle sait déjà parce que je lui en ai déjà parlé. Vous savez toutes que cette foutue Ombrage veut notre peau. Et que nous ne sommes pas prête de nous rendre aussi facilement que ça. Malgré tout, les rangs de l’Inquisition grossissent dangereusement aussi je voudrais compter sur votre discrétion. » Elle tourna les yeux vers Berlioz et lui sourit d’un air entendu. « Je sais que cela va se révéler être une tâche bien facile pour vous. Mais sait-on jamais. Voilà, c’est à peu près tout ce que j’ai à vous dire sur les derniers évènements. Sinon Berlioz, j’aimerai bien savoir à quoi tu penses. Qu’est ce que tu prévois pour mes projets ? »


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MessageSujet: Re: On attaque pas les Maraudeuses comme ça   On attaque pas les Maraudeuses comme ça EmptyVen 26 Mar - 23:02

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Bonsoir,

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